En temps de guerre, sur le champ de bataille, refuser de tirer sur l’ennemi est passible du Conseil de guerre, voir du peloton d’exécution.
En temps de guerre, on ne se contente pas de soigner les blessés, on tue l’ennemi, l’assaillant, l’occupant.
Jeunes de France, il faut défendre notre pays. Il faut imposer à nos dirigeants de ne pas se contenter de soigner mais d’organiser l’offensive partout où l’ennemi se trouve. Il faut imposer l’utilisation des lampes à ultraviolets, chez chacun, dans chaque maison, dans chaque appartement. Cette nécessité, c’est comme d’avoir chez soi une boîte de petits pois ou une bougie pour parer à toute éventualité !
Imposons à toutes les mairies, à tous les députés, à tous les sénateurs, l’organisation d’une désinfection générale, certes, dans les lieux publics, mais aussi dans toutes les rues, dans tous les moyens de communication et de transport et ce, actuellement, par la seule arme que nous possédons, les rayons ultraviolets. Certes, en attendant le soleil, mais même quand le soleil sera là, il faudra persévérer dans cette désinfection là où il ne pénètre pas.
Le dépistage est une notion du passé qui ne résout pas le problème.
Jeunes de France, il faut convaincre nos aînés d’affronter l’ennemi comme certains l’ont fait durant les deux dernières guerres mondiales. L’hymne national impose de protéger nos femmes et nos enfants ; c’est un devoir, ce n’est pas une éventualité, c’est un dû, une certitude.
Éradiquer les virus, et nous pourrons à nouveau remonter les Champs-Élysées pour la victoire. Aujourd’hui, ce sont les virus qui défilent sur les Champs-Élysées et cela nous rappelle de mauvais souvenirs.
Alors, jeunes de France, du matin au soir, jour et nuit, il faut éradiquer le virus, il faut tuer l’ennemi. Ce fut le rôle de la Résistance, alors entrez en résistance. C’est à vous, jeunes de France, de prendre les armes, en soldats de la défense de la vie.