Toute invention, toute découverte, apporte toujours l’incompréhension, l’opposition, une part de folie, des difficultés d’application.
Une découverte est le fruit de l’évidence. Personne ne connaît vraiment les fondements de la vie.
Il en est de même pour le virus : c’est un être vivant, super intelligent, capable de faire des parties de cache-cache, capable de changer d’armure. Sait-on seulement d’où il vient ? Dire le contraire, ce n’est pas connaître la vie.
Découvrir les moyens d’éradiquer le virus déclenche l’incompréhension, l’opposition et la non-application. Que de temps perdu, que de morts au palmarès !
Il faut peut-être être aveugle pour découvrir l’invisible mais l’invisible, il est partout.
Il y a des animaux qui voient dix fois mieux que nous. En fait, ce sont nos yeux qui ne voient pas. Le virus est un être vivant et, comme tout envahisseur vivant, il faut l’éradiquer.
Quand il y a trop de moustiques, on les détruit. Quand il y a des nids de frelons, on les détruits. Mais nous, dits peuple intelligent, avons décidé de vivre avec le virus. Eh bien, moi je ne suis pas d’accord. Il faut le détruire, l’éradiquer jusqu’au dernier.
Bien sûr, on nous dit qu’on va vacciner mais le virus ne sera pas éradiquer, lui, et tout recommencera et, chaque année, il faudra recommencer. La meilleure solution, c’est encore le soleil et il va bientôt arriver et l’on pourra encore aller dans la cour de récréation pendant deux ou trois mois. Mais tout recommencera.
On dit que les Bretons sont têtus : ils sont bien moins têtus que le virus.
Et ce Breton que je suis ne se contente pas d’être têtu, il apporte les solutions, des solutions qui viennent de l’invisible, d’un monde obscur où l’outil du rayonnement n’est pas encore d’usage courant. Avoir chez soi une lampe à ultraviolets est aussi important que d’avoir une boîte de petits pois en réserve… et peut-être davantage parce qu’elle vous permettra de vivre.
Pour gagner une guerre, il faut toujours avoir un pas d’avance et des armes quelques peu plus sophistiquées que celles de l’assaillant, mais il est vrai qu’il est difficile, et nous ne sommes pas armés pour cela, de détruire l’invisible.
Alors, il faut prendre la solution que je propose. Ce n’est pas une bombe atomique, c’est simplement utiliser les rayons du soleil quand il est là et de la lumière artificielle quand cela est nécessaire.
Le virus meurt face aux ultraviolets : c’est un combat de corps à corps. Être confiné, c’est aussi confiner le virus. Un confinement sans l’utilisation de rayons ultraviolets, ne servira à rien.