Je vis dans le futur

J’ai simplement quelques années d’avance  pour appliquer toutes les techniques qui existent, tant pour l’énergie que pour le sanitaire, que pour l’économie.

J’évite de tourner en rond. Je progresse au moyen d’une force purement naturelle. C’est peut-être l’esprit caché mais il faut toujours avoir quelqu’un pour réveiller ce que chacun possède dans son jardin, dans son imagination. On n’utilise pas suffisamment les possibilités existantes. On y oppose toujours l’impossible, l’aberration.

Nous allons, ensemble, écrire notre futur. En fait, il est à nos pieds, il suffit de le ramasser et de le développer. Trop souvent, on marche dessus. Notre énergie se trouve souvent dans la terre. C’est ainsi qu’on trouve le thorium un peu partout ; il faut simplement l’utiliser.

Nos systèmes technologiques doivent supplanter les normes du passé qui bien souvent d’ailleurs se contredisent. Notre sol, la matière en générale, est très généreux. Il faut, comme tout ce qui existe, la réguler parfois, voire même s’opposer à la civilisation de l’impossible, fut-ce-t-elle religieuse ou simplement tactile.

Il faut croire en l’homme. Mais lui aussi a ses limites : il faut repousser dans le temps toujours plus loin, toujours plus longtemps.

Notre monde vit dans le passé : dès l’école, on nous apprend le passé et l’on a du mal à nous représenter le futur. On a du mal à donner envie de le connaître, et pour cause, nos professeurs vivent dans le passé.

Le monde regarde le futur comme une hypothèse, il va falloir le changer.

Il est difficile de s’attaquer à une variable

Il est difficile de s’attaquer à une variable dont on ne connaît pas tous les éléments qui la font varier. Jusque-là, les vaccins se sont attaqués à une cause fixe. Aujourd’hui, la cause varie selon le temps, selon les difficultés qu’elle rencontre ou qu’on lui oppose, selon le climat.

Et pour se faire la variable change d’armure au gré du temps. Dans ces conditions, il faudrait aussi trouver un vaccin variable ; ce qui n’est pas facile… Il en résulte que le vaccin qu’on utilise aujourd’hui ne nous protège que partiellement, à un moment donné, dans des situations données, et la variable court beaucoup plus vite que lui ; on a toujours un ou deux ans de retard, quand ce n’est pas plus.

En mathématiques, on résout ce problème par ce que l’on appelle le calcul intégral, le calcul imaginaire et maintenant le calcul quantique. En fait, le calcul quantique est apparu quand s’est trouvée la nécessité de vérifier pour quoi 1 + 1 ne font pas deux dans certaines circonstances.

Dans le monde de l’invisible, les paramètres ne sont pas les mêmes, il est donc difficile de trouver l’élément qui pourra s’attaquer à toutes les variables. Mais plutôt, il n’en existe qu’une : c’est l’éradication de la cause. Le feu, la lumière et encore plus sa décomposition, intervient comme un animal face à l’incendie : il fuit ou se laisse cerner et brûler.

Faire du bricolage en essayant de détruire le virus dans le nez de l’homme, c’est peut-être empêcher l’incendie de se développer mais pourquoi attendre qu’il soit arrivé dans le nez ? Ne serait-il pas  plus sérieux, plus sage et plus réaliste de le détruire avant qu’il ne parvienne à l’homme ?

Car, en fait, on s’aperçoit que ce n’est pas seulement par un contact humain que se diffuse le virus ; le corps peut être comme un vaporisateur de parfum, on en ressent les particules pendant des heures. C’est pourquoi je demande que tous les espaces clos soient soumis à la puissance des rayons ultraviolets pour détruire toutes ces particules à chaque fois que des personnes ont séjourné ou sont passées dans ces lieux.

Je ne cherche pas une arme pour le bien-être du virus mais une arme pour le détruire. Ce que je propose est une arme de guerre qui doit être utilisée hors la présence de tout être humain ou animal domestique. Il faut tuer la variable de telle manière qu’elle ne puisse plus changer d’armure.

Se contenter de soigner les dégâts et de compter les morts ne suffira pas. C’est comme sur  un champ de bataille : on compte les morts, mais on essaie d’utiliser de  nouvelles armes pour détruire l’ennemi ; c’est ce qu’ont fait les Américains au Japon et ils n’ont rien demandé à quiconque, ni l’autorisation, ni de mettre des normes en place ou même de respecter celles qui existaient. Ils ont détruit le mal. C’est, en fait, la lutte du plus fort qui gagnera.

Le virus ne nous a pas demandé l’autorisation de venir, il a même traversé toutes les frontières sans passeport. Et l’on voudrait lui opposer, nous,  un passeport ! Ne soyons pas ridicules : nous sommes en guerre, agissons comme des guerriers.

Nous nous contentons de réagir après l’accident de la route mais que fait-on  pour éviter l’accident ? Parfois, on supprime les écueils mais l’accident à beaucoup  d’autres causes. Le virus, lui, à davantage de moyens que nous parce qu’il est invisible. C’est sa grande qualité, c’est son arme. Il faut donc lui opposer une arme invisible et, à ce jour, je ne connais que l’ultraviolet comme arme fatale.

Gagner en compétitivité, c’est d’abord

On ne prend jamais un marché en l’achetant. La technique du marché est de vendre, et pour vendre il faut gagner et faire gagner la France en compétitivité. Et le premier atout de la compétitivité, c’est la santé. On a déjà passé aux oubliettes le poids du cancer dans notre société. Aujourd’hui, on voudrait nous ajouter le poids d’un virus. Comment, dans ces conditions, arriver à une compétitivité ?

Mais, en France, cela ne suffit pas !!!, il a fallu qu’on ajoute encore une troisième cause, celle du poids des charges sociales sur le travail. Et l’on s’étonne aujourd’hui que la France soit dans le déclin ! Le contraire serait absurde.

Mais ce déclin, le France en a connu d’autres et elle a toujours su rebondir. La force de l’homme n’est pas d’aller de victoire en victoire ; c’est de rebondir à chaque fois qu’il est à terre. Et la France a tout pour rebondir. Ce ne sont que des décisions politiques qui la terrassent.

Et cela commence à l’école. J’ai déjà eu l’occasion de dire que nos enfants étaient dans le futur et que nos professeurs étaient dans le passé.

Pouvoir être compétitif, c’est d’abord être en bonne santé, en pleine forme dès la naissance et de conserver cette pleine forme jusqu’à 120 ou 150 ans. Et nous savons le faire, nous savons comment éviter les cancers, les virus et les grandes maladies. Mais, en France comme dans beaucoup de pays, on se contente de soigner les dégâts produits par les causes. Il faudra accepter d’y apporter les solutions que nous connaissons.

La compétitivité n’est pas seulement l’énergie fournie par l’homme. Aujourd’hui, l’énergie est un désastre. Et là encore, nous savons comment faire mais il faut le vouloir.

Nous, Français, sommes à l’origine de quantités de découvertes mais nous sommes toujours persuadés que les découvertes du passé suffiront pour notre bien-être. Non, il faudra découvrir et surtout appliquer les découvertes que nous avons faites. Nous nous apercevons qu’en France il faut vingt ans pour les mettre en activité tant les forces d’opposition sont grandes.

Tant que l’argent sera le maître de la spéculation, on aura du mal à avancer. Organiser le manque nécessaire pour vivre, c’est ce que l‘on appelle la spéculation. Refuser que les bateaux rentrent au port pour affamer les populations et faire monter les prix, c’est de la spéculation. Ne pas utiliser nos découvertes en prétextant les avis d’un conseil scientifique, c’est de la spéculation sur l’homme.

Avis aux candidats à la Présidence de la République ; le prochain quinquennat devra être celui de l’homme et non des politiques.

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