Cette loi restera dans l’histoire comme une loi d’occupation, par un refus de reconnaître une erreur de stratégie.
Cette loi ne résoudra rien : l’occupant (le virus), circulera autant qu’il le voudra. Nous voilà partis pour une guerre de cent ans, en transformant nos corps en écumoire…
La pandémie a fait, à ce jour, 4 200 000 de morts dans le monde et a mis à genoux plusieurs économies.
Je regrette cette loi. La victoire de la deuxième guerre mondiale a été l’œuvre d’une arme nouvelle à l’époque. Une arme impitoyable qui a fait rendre les armes à l’empereur du Japon. En conséquence, à ses alliés de l’époque, l’Allemagne nazie.
Nous, Français, nous n’avons pas le droit de baisser les bras ; la stratégie actuelle ne résoudra jamais les problèmes de la pandémie. Il nous faut une autre stratégie pour éradiquer le virus, l’occupant mondial ou, tout du moins, de l’Occident.
L’arme nouvelle pour détruire l’infiniment petit et invisible ne peut être qu’une arme invisible du même monde. Cette arme impitoyable, nous la possédons depuis déjà des dizaines d’années, c’est l’utilisation des rayons ultraviolets, naturels par le soleil et artificiels par la décomposition de la lumière. Ces épurateurs ne seront que la superposition de deux rayonnements. Il s’avère que le rayonnement d’un virus est plus faible et qu’il sera anéanti par les rayons ultraviolets, plus puissants.
Nous Français et tous les humains du monde, nous ne pourrons jamais être l’otage de cet occupant. Faudra-t-il constituer un nouveau conseil de la résistance, composé de gens de tous bords et de toutes qualités, pour imposer le changement de stratégie indispensable ?
La soumission n’est pas notre loi, c’est celle de la liberté qui a porté bien haut notre drapeau. Sans changement de la stratégie actuelle, ce conseil de la résistance n’hésitera pas à se mettre hors de la loi d’occupation, pour retrouver la liberté. J’en ai eu l’habitude et j’en connais les conséquences dans mes combats contre les monopoles. Oui, il faut savoir prendre des risques : ce n’est qu’à ce prix que nous retrouverons notre liberté.
IMPOSER L’ÉRADICATION PAR ORDONNANCE
Rien ne s’y oppose. L’éradication doit être mise ne place avant le 15 septembre 2021 et, si ce dispositif à rayons ultraviolets n’est pas mis en place, nous verrons fleurir une ixième vague. Il n’y aurait jamais dû y avoir, ni de deuxième, ni de troisième, ni de quatrième vague.
Imposer l’éradication ne coûtera rien à l’État. Je demande seulement que l’État ne se serve pas non plus en TVA sur ces produits car il s’agit d’un produit de santé. Ce sera le meilleur investissement de l’année, qu’il soit fabriqué en France ou importé.
À titre personnel, j’ai une lampe à ultraviolets, chez moi, qui fonctionne tous les deux jours et dans chaque pièce de ma maison.
On dit que la vie n’a pas de prix mais on se complaît à en faire un, exorbitant qu’est la vaccination, et si l’on multiplie cela à l’échelon mondial, c’est donner une cassette en or aux laboratoires sur laquelle on leur donnera, en plus, une rente.
LES FRANÇAIS ATTENDENT DE LEUR PRÉSIDENT QU’IL SOIT UNE ICÔNE
Les Français veulent un Président qui transcende le futur. Les Français veulent un Président qui brave l’invisible pour reprendre leur liberté.
Non, Monsieur le Président, l’habit ne fait jamais le moine. Notre Président se doit d’être la lumière dans l’invisible. Nous sommes en guerre, il faut gagner la guerre, Monsieur le Président, et non la subir.
Nous avons, à présent, l’arme redoutable pour tuer le virus ; ce n’est pas le vaccin, il n’est pas conçu pour cela mais ce sont les rayons ultraviolets qui éradiquent l’ennemi et qui rétabliront la paix sociale et économique. Cette arme est aussi redoutable, sinon plus, que la bombe nucléaire car cette arme peut être utilisée par tous, dans tous les pays, sans exception. Elle se trouve sur le marché comme le tout-venant. Ce n’est rien de plus, c’est une fois de plus ce qui est simple qui sera le plus efficace. Fallait-il encore y penser…
Refusera-t-on de l’utiliser ? On peut commettre des erreurs de stratégie et la vaccination en est une car elle ne tue pas celui qui vous tue.
