Quand, il y a de cela 25 ans, par des publications par pages entières dans le journal de l’époque (France Soir), je demandais l’utilisation de l’hydrogène pour remplacer l’énergie issue du pétrole et de tous les produits carbonés, on m’a ridiculisé.
Aujourd’hui, on a compris que pour mettre fin à la pollution, il fallait d’abord mettre fin à la cause et l’on n’a pas choisi un vaccin.
Quand, en 1960, le Général de Gaulle, après avoir dit « je vous ai compris », se rendit compte que, pour mettre fin aux guerres coloniales, il fallait donner l’indépendance à ces peuples. Il a changé de stratégie en deux ans et il a changé de stratégie dans l’intérêt général. Non, Monsieur le Président, il n’y a pas de honte à changer de stratégie.
Quand je demande, pour en finir avec les virus et avec les cancers, d’utiliser les armes naturelles et nécessaires d’éradication, on sourit. La légitimité du vaccin est un pis-aller provisoire et limité. La seule solution, c’est l’éradication des causes qui provoquent l’infection et, une fois de plus, on sourit. Non, Monsieur le Président, il n’y a pas de honte à changer de stratégie dans l’intérêt général de l’humanité.
Quand je propose de mettre fin au développement des déserts, seule cause du réchauffement climatique, on me ridiculise. Et pourtant, y a-t-il une autre solution ? Non, Monsieur le Président, il n’y a pas de honte à changer de stratégie et de mettre les déserts en cultures et en reboisement.
Quand je propose de rallumer les lumières de la France par la suppression des charges sociales pour accroître le pouvoir d’achat et rendre les exportations compétitives, on sourit. Et pourtant, Monsieur le Président vous savez comme moi qu’il n’y a pas d’autre solution crédible. Cette solution avait déjà été envisagée par le Président de Gaulle. Non, Monsieur le Président, il n’y a pas de honte à changer de stratégie, il n’y a que l’honneur et l’intérêt général.
Je sais qu’il est plus difficile et avec plus d’efforts de monter les marches vers la lumière que de descendre les marches de la cave pour s’y cacher dans la honte.
Tout ce que je propose est accompagné de sa solution. Tous les « je ne sais pas » ou « on n’y a pas pensé », je ne connais pas.
Même quand je propose que chaque Français produise sa propre consommation d’énergie par de microcentrales nucléaires au thorium, je ne plaisante pas. Et, là aussi, il y a la solution à la clef. C’est pourtant bien la solution pour mettre fin aux lignes électriques aériennes et pour supprimer toute forme d’éoliennes et tout panneau solaire, qui ne sont que du bricolage. Ce que je propose pour l’énergie, c’est de diviser son coût par dix. Non, Monsieur le Président, il n’y a pas de honte à changer de stratégie.
Ce n’est pas dans le passé qu’il faut vivre mais dans le réel et dans le futur pour pouvoir y vivre.
Ce sera le vaccin ou rien (Olivier Véran)
Comment, Monsieur le Ministre, pouvez-vous en être si sûr au vu des résultats plutôt moyens ? Comment pouvez-vous accuser les non- vaccinés d’être la cause de la contagion quand il y a déjà 50% de vaccinés et davantage de morts que l’année dernière ? En parlant ainsi, vous n’apportez aucune solution, aucun résultat, si ce n’est la honte.
Que vous imposiez la vaccination, d’une manière ou d’une autre, je peux le comprendre, mais dire que c’est le vaccin ou rien, pourrait bien être rien d’autre que « l’éradication ou rien ».
Votre insolence n’est pas à la hauteur d’un ministre de la République. Terroriser les gens n’est pas conforme à l’esprit français. Vous vous êtes souvent trompé, pour les masques, pour les tests, pour la vaccination, mais vous n’avez même pas imaginé l’hypothèse d’une autre stratégie. Hippocrate doit se retourner dans sa tombe.
Il n’y aurait jamais dû y avoir, Monsieur le Ministre, ni de deuxième, ni de troisième, ni de quatrième vague et peut-être de cinquième vague, si on avait appliqué l’éradication depuis déjà dix-huit mois. Vous êtes responsable des 113 000 morts, à ce jour, en France.
Tenter de ridiculiser ceux qui donnent des solutions n’est pas digne d’un Français et encore moins d’un ministre. Vous pensez vraiment que la médecine est la seule à pouvoir résoudre les problèmes qui, en fait, sont naturels et qu’il faut combattre par des armes naturelles ?
Ridiculiser d’autres Français qui ont d’autres idées, peut-être plus efficaces, c’est vous ridiculiser vous-même. Réduire la liberté des Français sans donner de vraies solutions n’est pas raisonnable. Ce sont des affirmations gratuites et sans solution et surtout sans résultat concret.
J’ose espérer, Monsieur le Ministre, que l’hiver qui approche ne permettra pas aux virus de se multiplier encore davantage, car en disant que la vaccination est la seule solution, vous avez créé un état d’esprit qui est de ne plus se protéger.
Vous savez très bien ce qu’il faut faire et le privé a commencé, dans les supermarchés et même dans certaines salles de cinéma, à éradiquer les virus car c’est un devoir de protéger ses clients dans un espace sain. Ce n’est, ni aux citoyens, ni aux clients, de se protéger, c’est à l’État et aux commerçants de rendre l’espace sain. Et l’État français ne fait pas non plus son devoir.
