Taxe carbone, vaccination, cancer

Tous trois sont la conséquence de n’avoir pas cherché et éradiqué les causes.

L’insolence des moyens utilisés est ridicule : ce sont des emplâtres sur une jambe de bois. Et souvent, ces moyens risquent d’être plus dangereux que la cause elle-même.

C’est ainsi que, pour la vaccination, on utilise un vaccin qui n’en est pas un. Pour la taxe carbone, on utilise une taxe dont on ne sait comment elle pourra être appliquée. Pour les cancers, on utilise la chimiothérapie. Tous trois entraînent de nouvelles séquelles qui sont parfois plus graves que la cause du mal.

Ce qui est beaucoup plus grave, c’est que nous savons comment faire pour éradiquer la vaccination, la taxe carbone et le cancer sans utiliser ni vaccin, ni taxe, ni chimiothérapie.

En ce qui concerne la taxe carbone, la vraie cause provient des écologistes qui refusent l’évidence d’une énergie nucléaire.

Pour le virus, c’est le refus des solutions mécaniques et techniques qui éradiqueraient à 100% le virus en quelques semaines. Pour les cancers, la seule cause est la variation des pressions atmosphériques et, pour cela, nous avons aussi la solution technique.

Alors, il va bien falloir, un jour, se poser la question de l’efficacité de ce qui est utilisé. Tous trois, à ce jour, nous pourrissent la vie. Les trois solutions que je propose, c’est  seulement la fin de la vaccination, la fin de la taxe carbone et la fin du cancer.

Je sais, tout ceci paraît trop beau pour être vrai et pourtant c’est l’évidence. Alors pourquoi ? et là, je vais vous dire la même chose que les médecins : je ne sais pas… !

C’est tout de même porter atteinte au génie de l’homme qui ne cherche, en fait, qu’à se protéger en utilisant ce qui est à sa disposition dès à présent, pour un résultat à 100%.

Quelle est la cause de la peur du nucléaire civil ?

C’est l’explosion accidentelle par manque de refroidissement des réacteurs par une eau pressurisée qui refroidit ces réacteurs en permanence.

C’est le cas du réacteur classique que nous installons partout.

Le SMR ou miniréacteur est différent. Le refroidissement se fait à partir de sels fondus et tout risque de surchauffe disparaît car le sel fondu se cristallise en cas d’incident et arrête le dispositif nucléaire sans conséquence de quelque nature que ce soit.

En fait, le sel fondu est un disjoncteur qui, dès que la température monte, se cristallise comme votre simple disjoncteur, près de votre compteur électrique, qu’une simple lame de métal qui surchauffe, fait se déclencher.

Aujourd’hui on s’acharne à faire des réacteurs à partir de l’uranium qui est plus dangereux, qui peut éventuellement exploser en cas de surchauffe trop importante, qui procure des déchets trop importants à ce jour et qui doit être importé dans la plupart des cas du Niger (quelle dépendance !!).

Mais alors, pourquoi ne pas installer un millier de SMR en France, et demain en Afrique dans chaque oasis ?, ils peuvent être construits en série en usine et leur mobilité est grande car il suffit d’un simple semi-remorque pour les transporter, voire demain une camionnette.

La surface nécessaire pour installer ce miniréacteur est aujourd’hui celle d’un terrain de tennis et demain d’une table de pingpong.

Il n’y aura plus de transfert d’énergie, il n’y aura plus de lignes à haute tension, il n’y aura plus de transformateur et les déchets seront insignifiants et destructibles par laser.

Le résultat, c’est le prix du KW divisé par dix par la suppression des pertes de charge, et un investissement cent fois moins cher.

Alors, pourquoi les écologistes veulent-ils détruire la France ? On ne peut pas combattre des découvertes. C’est un non-sens philosophique et écologique.

Je ne peux croire qu’on brade ainsi le génie de l’homme. Refuser les SMR, c’est aussi refuser les petites voitures ou les petits avions qui fonctionneront aussi à l’hydrogène dont l’électricité nécessaire à la fabrication sera produite par les SMR.

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