En France et en Europe, on tue le travail par des charges qui n’ont pas lieu d’être sur le travail. C’est le rôle de l’État, c’est le rôle de tous.
Le monde est en difficulté, il va falloir résoudre les problèmes. Pas dans les dix ans, mais tout de suite, à partir du moment où l’on aura retrouvé la santé.
- par les ultraviolets, pour les virus
- par la régulation des pressions atmosphériques, pour les cancers
- par les microcentrales nucléaires pour fournir l’énergie nécessaire à chacun mais aussi dans les déserts
- les déserts couvrent 30% des terres cultivables : le problème sera résolu par les microcentrales nucléaires qui pourront pomper l’eau nécessaire, dans les sous-sols des déserts
- il faut résoudre le problème du réchauffement climatique ; ce ne sera pas par des vaccins, ce sera par la mise en culture des déserts.
Tout ce que je propose est réalisable immédiatement et sur cinq ans.
Alors pourquoi tant de misère et de morts inutiles ?
OBJECTIF : FAIRE BAISSER TOUS LES PRIX DE 20%
Faire baisser les prix en compensation de la suppression des charges sociales est une réalité possible.
Ce sera profitable aux patrons comme aux salariés.
Pourquoi ? :
- une hausse des salaires, quelle qu’elle soit, entraînera ipso facto une augmentation des prix
- une baisse des coûts permettra d’accroître nos exportations, voire les multiplier par trois ou quatre, et entraîne une augmentation de la consommation dans notre pays
- une baisse des coûts évitera toute nouvelle inflation
- une baisse des coûts entraînera une hausse des investissements, tant industriels qu’individuels, par une consommation accrue.
La situation actuelle de notre économie verra alors un accroissement de la production et la réduction du chômage. L’accroissement des exportations et de la consommation intérieure, et de la baisse des charges sur les fonctionnaires, permettra le financement du social transféré sur le budget de l’État.
Si nous ne faisons pas le nécessaire pour éradiquer les virus et les cancers, en un mot, pour rendre la vie agréable à tous, l’économie ne pourra pas reprendre sa place
