Les chiffres qui parlent

Dire que l’on a sauvé des vies par le vaccin est un mensonge éhonté, les chiffres du mois d’août le prouvent.

En fait, la stratégie sanitaire, économique, sociale, est la pire des stratégies utilisées. Avec l’éradication, on aurait évité 100 000 morts et près de 1 000 milliards de dettes, tout confondu, entre manque à gagner et dépenses effectuées.

Oui, il fallait protéger les entreprises et les salariés et c’est par incompétence que l’on a été obligé de compenser financièrement.

Je voudrais me tromper ; oui, je le voudrais bien.

L’éradication était et est la seule stratégie pour en finir avec l’épidémie.

Ceux qui pensent et espèrent

Ceux qui pensent et espèrent la fin de la pandémie de la COVID-19 sont en plein rêve.

On n’a rien fait de sérieux pour éradiquer le virus. Rien, à ce jour, ne permet une telle affirmation. Comme le disait Monsieur le Président de la République, on va vivre avec, et avec 100 morts par jour et peut-être beaucoup plus.

J’ai envie de vous dire que, dès le 30 septembre 2021, on pourrait atteindre 40 à 50 000 cas par jour et des hôpitaux submergés. Qu’a-t-on fait pour éviter une cinquième vague, car le vaccin ne tue pas le virus ?

Aujourd’hui, on détecte le virus par des tests, on soigne à l’hôpital, et tout continue, avec ou sans vaccin.

Ne pas adopter l’éradication, qui est la seule solution pour mettre fin au virus COVID-19, sous ses différentes formes, et bientôt au virus de la grippe, est une stratégie du « je ne sais pas ». Il se pourrait que les conséquences économiques, humaines et sociales, ne puissent malheureusement être évitées.

Il est plus que temps de pallier la hausse des prix par une baisse massive de tous les prix et services, avec la suppression des charges patronales et salariales sur les salaires.

Le virus semble avoir des variants. Nous ne savons pas, à ce jour, si les vaccins pourront agir sur eux. Mais les éradiquer éviterait tout cas, toute hospitalisation, toute réanimation.

Il n’est pas impossible non plus que l’on puisse mettre en place un détecteur d’ambiance de virus, comme le détecteur de fumée. Il n’y a que le rayonnement ultraviolet, sous toutes ses formes, qui pourra mettre fin à la vie des virus et donc à la pandémie.

Les cas, comme les prix, vont s’envoler

Le manque de soleil, pendant l’été, un climat plutôt frais, risquent fort, dès fin septembre, de voir les cas de virus s’envoler.

Ce sont les vents du nord-est qui dominent et qui repoussent le Gulf Stream et, à cela, on n’y peut rien.

Les variants du virus arrivent de toute part et de plus en plus armés. L’entêtement de nos scientifiques et de nos politiques à  ne pas vouloir utiliser la stratégie de l’éradication pourrait bien mettre à genoux la France, pendant tout l’hiver.

Je ne suis pas contre les vaccins mais les chiffres démontrent clairement que ce n’est pas suffisant et il semble qu’on soit partis pour une guerre de cent ans : on va s’y habituer, comme pour le cancer.

Quant à moi, je continuerai à mettre toutes les techniques possibles pour éradiquer le virus dans les meilleures conditions.

Ce que l’on voit aujourd’hui en Islande et en Israël ne peut pas nous réjouir d’une éventuelle fin de la pandémie. Il n’y a jamais eu autant de cas dans ces deux pays. C’est un constat qui devrait faire réfléchir. Il faut arrêter de se mentir à soi-même.

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