Pourquoi tester

Tester, pourquoi pas, mais c’est se cacher derrière son petit doigt.

Le temps que l’on a passé à faire ces tests serait bien plus utile à tuer le virus là où il est, là où il vit, où où il se développe.

Le testage, c’est l’arbre qui cache la forêt et spécialement dans les supermarchés. Qu’ils soient Carrefour, Leclerc ou autre, ils sont des nids, des incubateurs du virus dans leurs chambres et leurs comptoirs réfrigérés.

Ce qui est fait, à ce jour, c’est simplement pour se donner bonne conscience et pour ne pas risquer d’avoir à fermer les portes des supermarchés. C’est ce que je ne souhaite pas, d’ailleurs.

La solution, pour ces grands magasins, c’est d’installer des lampes, des tubes ou des appareils quels qu’ils soient, qui émettent des rayons ultraviolets. C’est d’éradiquer ainsi le virus d’une manière rapide et efficace.

Ce n’est pas seulement les gens qu’il faut désinfecter.

Mais ce sont les chambres froides des magasins où naissent et se développent les virus.

Tester, c’est découvrir le mal et éventuellement se protéger et protéger les autres. Éradiquer, c’est éviter d’avoir à tester.

J’ai en sainte horreur qu’à chaque fois qu’on n’arrive pas à résoudre un problème sanitaire, on le reporte sur le peuple qui n’aurait pas fait le nécessaire. Les accusés, ce n’est pas le peuple, ce sont les dirigeants, les conseils scientifiques qui ont montré leur incapacité à éradiquer le virus.

Les masques, le testage, le confinement, voire le couvre-feu, sont des solutions défensives. Et, pendant ce temps, les virus passent par-dessus la ligne Maginot et envahissent le territoire jusqu’à votre porte et même dans votre maison.

Éradiquer, c’est autre chose, c’est attaquer et tuer l’envahisseur et, à ce jour, la meilleure solution et la plus rapide, ce sont les ultraviolets.

Protéger la France et les Français, c’est cela le gaullisme. C’est avoir des armes pour assurer la dissuasion. Un virus ne s’attaque pas à un homme fort, il s’attaque à ceux qui n’ont plus de défensive.

Que d’argent distribué à fonds perdus ! Demain, le vrai virus sera dans notre économie  et si l’on n’utilise pas les manières fortes d’éradication, on deviendra la proie de l’Orient.

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