Et oui, la Corée l’a parfaitement compris

La Corée est l’exemple même de la lutte intelligente contre le coronavirus :

  • dix fois plus rapide
  • cent fois plus économique
  • et mille fois plus efficace.

et la Corée est le pays où il y a eu le moins de morts par rapport à tous les autres pays du monde.

Eviter les virus en quelques secondes me paraît plus crédible que de tenter de soigner avec des vaccins que nous n’avons pas.

Médecins et professeurs, vous n’avez pas le droit de laisser mourir vos patients de la COVD-19 et demain, de la grippe. Ce n’est pas la chimie qui résoudra votre problème, c’est la lumière, c’est le soleil.

Les rayons ultraviolets sont à ce jour installés en Corée dans tous les lieux de transports, dans tous les bus, dans tous les trains, dans tous les avions, dans toutes les cages d’ascenseur, dans tous les véhicules.

Oui, les rayons ultraviolets peuvent aussi nous soigner quand on est infecté. Qu’on ne me dise surtout pas que c’est dangereux ; quand nous sommes au soleil, sur les plages ou ailleurs, nous sommes bombardés par les rayons solaires et nous n’en mourons pas.

Alors, quand j’entends les médecins dire « on  a beaucoup appris, je me demande parfois s’ils ont appris quelque chose, un jour… Ce sont des gens d’une grande mémoire, à qui on apprend le dictionnaire de l’OMS et de l’Ordre des Médecins. On leur demande de l’apprendre par cœur mais on ne leur demande pas de comprendre et de chercher l’évidence, et encore moins de chercher la cause.

Neutraliser un virus, c’est bien, l’éradiquer, c’est mieux. Soigner un virus, c’est bien, l’éviter, c’est mieux, et les ultraviolets sont efficaces à 99 %. Mais, comme toujours, dans notre pays, on prend le temps de réfléchir, un temps qui a tué à ce jour plus de 30 000 personnes en France.

Je ne doute pas de la bonne foi de tous mais éradiquer ne coûte pas cher tandis que soigner rapporte gros. Ne faut-il pas y trouver la raison de ce résultat ?

De la même manière, pas un seul médecin au monde n’a trouvé à ce jour la cause des cancers. Elle est peut-être trop simple. Et c’est le principe même de la recherche qu’il faut remettre en cause.

Oui, nous savons à présent ce qu’il faut faire contre le cancer, mais comme pour toute vérité, il faudra des mois, voire des années pour arriver à l’évidence.

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