Le mouvement écologiste

Ce mouvement est tout sauf écologiste. Il passe son temps à ajouter des taxes aux taxes. La taxe carbone, on a rien trouvé de plus ridicule que cela. La nature produit mille fois plus de carbone que nos voitures ou nos camions.

L’hydrogène va résoudre le problème de la pollution mais l’hydrogène n’est pas une découverte des écologistes ; ils font même tout ce qu’ils peuvent pour éviter que l’on puisse produire de l‘hydrogène, en refusant l’énergie nucléaire.

Les écologistes sont devenus un parti politique, c’est tout dire le peu d’intérêt qu’il a aujourd’hui.

Les énergies renouvelables intermittentes sont un désastre pour la nature, pour le coût du KW, tout simplement pour l’écologie. Il en est de même des panneaux solaires : ils ne fonctionneront réellement que quand il y aura du soleil. Alors, il faudra prévoir des batteries pour stocker cette énergie… mais les batteries, est-ce si écologique que cela ?

Le mouvement écologiste en France est ce qu’il y a de plus antiéconomique, anti pouvoir d’achat, anti bien-être, pour la population. L’écologie passe son temps à préparer des normes et, comme par hasard, oublie la vie dont la seule cause des cancers n’est même pas à l’ordre du jour. Et pourtant, c’est une cause de 120 000 morts, chaque année, rien qu’en France… et le cancer n’est pas un problème écologique ! Alors, qu’ils ne s’en mêlent pas parce qu’ils n’ont pas compris que la nature avait ses dérives, mille fois plus puissantes que celles provoquées par l’homme.

Ils n’ont même pas évoqué la possibilité de détruire le virus. Mais à quoi servent-ils si ce n’est à mettre la pagaille dans l’économie française ? Ce n’est pas cela l’écologie. Croire qu’être au pouvoir va résoudre les problèmes de l’écologie ?, certainement pas, car il faut du talent pour cela. Et ce n’est pas par des discours que l’on résoudra le problème de l’écologie car elle a pris le mauvais le chemin : celui de protéger la planète, celui de protéger la nature. Les écologistes ont oublié que la planète et la nature sont les plus grands assassins.

Ce n’est donc pas le mouvement écologiste qui résoudra notre problème de vivre. Les écologistes passent leur temps à faire des normes, à interdire tel ou tel produit : pourquoi pas quand il est dangereux mais ce n’est pas le rôle de l’écologie. Son rôle, c’est de faire connaître au peuple les dangers de la nature et de lui donner les moyens et les solutions pour y remédier. L’écologie doit être un protecteur de l’homme et non un accusateur de l’homme.

Quand viendra la nuit

A quelques mois de la Présidentielle et, quand tous les jours, il y aura 20 à 30 000 cas, et peut-être davantage de contamination par la COVID-19, ce ne sera plus une campagne électorale que devra gérer le pouvoir après l‘échec cuisant d’une vaccination que l’on nous avait dit miraculeuse et qui a été imposée par les Conseils Scientifiques.

Que décidera alors le pouvoir ? Il y aura peut-être moins de morts, et encore, nous n’en sommes pas certains. Il n’en restera pas moins que tous ceux qui ont été atteints et tous ceux qui seront atteints, mettront au moins une année pour récupérer la totalité de leurs activités tant les séquelles de cette maladie sont coriaces.

Le COVID-19 n’est pas une piqûre de moustique, c’est une attaque contre l’humanité qu’on laisse se développer, voire s’accentuer. Il y a toujours l’espoir qu’un jour il disparaîtra sans savoir pourquoi mais ce n’est qu’une espérance. « Aide-toi et le ciel t’aidera », dit-on !

Depuis des années, maintenant depuis deux ans, on nous dit : « demain on rase gratis et on va gagner la bataille contre le virus », et depuis cinquante ans : « on va soigner le cancer ». Mais tout ceci n’est qu’un rêve : autant dire que le soleil va s‘éteindre : ce sera alors la nuit.

Ce qui est terrible, à mon sens, c’est que nous avons les moyens, non pas de soigner mais d’éviter. Jamais, en France, un Général n’a laissé 120 000 morts sur le champ de bataille. Vous êtes le Général des Armées, Monsieur le Président, mais êtes-vous à la hauteur de la guerre qu’il faut mener ? Personne n’a été aussi négatif, tout simplement parce que vous vous êtes appuyé, Monsieur le Président, sur des Conseils Scientifiques, qui n’ont jamais rien résolu. Ce n’est pas, pour le moins, très glorieux.

Oui, j’affirme que je parviendrai à mettre fin tant aux virus qu’aux cancers. « Quel orgueilleux, êtes-vous » allez-vous me dire ! Non, je ne suis pas orgueilleux, j’ai simplement constaté ce qu’il fallait faire et j’en ai déduit les moyens pour ce faire. J’ai compris tout simplement, que c’est la nature qui détruit et que c’est la nature qui doit réparer. Et malgré mes 82 ans, si j’ai quelques trous de mémoire, j’ai encore les moyens de faire la synthèse.

Ce qui me différencie de tous les scientifiques, c’est que moi  je veux protéger l’homme et non ma tirelire. Il y a longtemps que j’ai compris que l’homme était constitué avec 40 000 km de vaisseaux et que les cellules sont par milliards dans notre corps. Il y a longtemps que j’ai compris qu’il fallait réguler la nature et non pas la protéger, il y a longtemps que j’ai compris, comme beaucoup d’autres, je pense, que l’oxygène est le moteur de notre vie. Sans oxygène, on perd la raison, le cerveau se détruit, les cellules meurent et c’est la nature qui en est la cause, par les variations des pressions atmosphériques.

Je ne veux pas vivre dans la nuit. Aujourd’hui on protège nos destructeurs, nos tueurs et ils sont légions dans le monde. Ils circulent autour de nous, ils pèsent sur nous, ils nous écrasent et ce n’est pas un simple vaccin qui va résoudre le problème d’autant plus que, mêmes ceux qui font le vaccin, crient haut et fort qu’il ne tuera pas le virus et qu’il se contentera peut-être d’en soigner les conséquences

Petit à petit, on s’aperçoit qu’on crée la nuit en tuant l’homme. Je veux simplement qu’elle arrive le plus tard possible.

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