Un feu de paille

La toute puissance militaire et économique de l’Occident n’aura été qu’un feu de paille face à l’invisible et à l’infiniment petit.

C’est ce qui découle aussi des deux rapports fournis à l’ONU et à l’OMS. Ces deux rapports d’experts en pandémie viennent tout simplement nous dire ce que j’implore depuis deux ans :

  1. Il est nécessaire, urgemment, de reconsidérer nos rapports de force militaires et économiques, et j’ajouterai même, sanitaires
  2. Le plus difficile sera une épreuve d’humilité face à l’infiniment petit d’aujourd’hui et de demain
  3. Va-t-on continuer à développer et à se servir des moyens conventionnels actuels, pour reprendre la donne ?
  4. Les solutions du passé ne sont plus suffisamment convaincantes pour être utilisées avec un résultat à 100%
  5. Il faut rechercher dans la nature des moyens de combattre l’invisible, que ce soit les virus ou les cancers
  6. Il faudra accepter la fable de la Fontaine : « on a souvent besoin d’un plus petit que soi »
  7. Il faudra comprendre et accepter que les rayons ultraviolets, ainsi que les régulateurs de pressions atmosphériques, seront à ajouter aux manuels usuels.

Pour éteindre le feu de paille, que ce soit pour le militaire comme pour l’économie, il va falloir accepter que c’est  la nature qui pourra l’éteindre, et comprendre que la vaccination comme le nucléaire, sont des armes du passé.

Il va falloir accepter, tout simplement, que le soleil est le maître du jeu, c’est le maître de l’infiniment petit et de l’invisible.

LE DÉSERT, UN OUTIL CONTRE LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE

Il va falloir faire, du désert, non plus un ennemi, mais un ami car, en remettant en cultures une partie des déserts, on absorbera la totalité des gaz à effet de serre, de toute la planète.

Cette solution est certainement la plus économique et, là encore, la plus rationnelle et la plus naturelle possible.

Se servir des déserts comme un outil, et nous remettrons en cause tout ce que la chimie ou la technique voudraient nous imposer.

Si, hier, c’était un problème, aujourd’hui on a la solution. Nous savons, aujourd’hui, produire de l’énergie partout dans le monde, sans mettre en cause la nature.

Remettre les déserts en culture, c’est aussi apporter à tous les pays limitrophes la solution à leurs problèmes économiques. On sera, d’ici cinquante ans, un peu plus de 20 milliards d’humains dans le monde. Il faudra les nourrir ; et, aujourd’hui, c’est à peine 10% de la planète qui est en culture.

Faire du désert un ami, c’est résoudre tous les problèmes de réchauffement climatique, et demain, de la faim dans le  monde.

Pourquoi aller toujours chercher du compliqué quand on peut faire simple, avec ce que nous avons. Il faudra simplement faire preuve d’un peu plus d’humilité et d’ingéniosité.

L’utilisation de l’hydrogène aura résolu le problème de la pollution.

Le désert aura résolu le problème de la faim et du réchauffement climatique.

Dire que cela est très coûteux, oui, certes, mais à quel niveau quand on voit qu’aujourd’hui on vient de dépenser plus de 100 000 milliards dans le monde pour tenter de survivre à l’invisible ! Tout ceci n’est pas raisonnable ; bien sûr, c’est l’affaire de quelques-uns qui s’enrichiront mais la vraie solution est beaucoup plus simple, elle est naturelle. Il faudra se dire définitivement qu’on ne résoudra pas les problèmes de l’invisible sans utiliser les armes invisibles et les déserts.

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