30 juillet 2020, 30 juillet 2021

En France, la situation de la pandémie au 30 juillet 2020, sans vaccin, était meilleure qu’au 30 juillet 2021, avec vaccin.

C’est curieux, n’est-ce pas ? N’y a-t-il pas vraiment une autre solution que le vaccin ? On s’aperçoit que le soleil et ses rayons ultraviolets pourraient éviter toute contamination, tout du moins là où il peut pénétrer.

Et qu’en sera-t-il au mois d’octobre 2021 par rapport à la situation au 30 octobre 2020 ? Je suis convaincu que l’on sera dans une situation très proche et, peut-être, avec moins de morts, mais qu’il y aura autant de cas, sinon plus, qu’en 2020.

La vaccination sera-t-elle un coup pour rien ? En tout cas, un coup pour rien ne permet pas, à ce jour, de retrouver une situation normale. Nous ne savons pas ce que deviendra le virus. Aura-t-il une nouvelle armure ? Sera-t-il plus ou moins dangereux ? Personne n’en sait rien.

On prend beaucoup de risques pour rien. On s’entête à ne pas éradiquer, ce qui permettrait une solution pérenne et une solution finale. Une chose est sûre : le virus sera toujours là. Si on ne l’éradique pas, il continuera sa course à travers le monde en provoquant un désastre humain avec peut-être moins de morts mais avec plus de cas.

On adopte une solution de sursis en imposant un Pass.

Il est vrai qu’il serait beaucoup plus simple d’imposer une norme nouvelle à tous ceux qui reçoivent du public, une norme à partir d’ultraviolets. En fait, cette norme ne s’appliquerait et ne s’imposerait qu’à 500 000 Français au lieu de 67 millions et à 12 millions d’individus dans le monde, au lieu de 7 milliards. Elle serait également un exemple de solution individuelle.

On préfère utiliser un système de dictature alors qu’il existe une solution alternative. Refuser la solution alternative, c’est bafouer la démocratie.

LE VIRUS N’EST PAS L’AFFAIRE DE LA MÉDECINE

L’éradication des virus, c’est l’affaire de l’industrie pour la fabrication pour tous, mais spécialement pour les lieux clos ou semi clos, de dispositifs à ultraviolets.

Tuer  l’envahisseur, n’est pas l’affaire de la médecine ; c’est avant de recevoir la balle qu’il faut détruire la balle. C’est donc en amont qu’il faut agir.

Les médecins reconnaissent, d’ailleurs, qu’ils ne sont pas équipés pour tuer l’envahisseur mais simplement pour éviter les situations létales suite aux conséquences du virus.

Le vaccin n’empêchera pas d’être contaminé et d’être malade. Il me semble que le vaccin n’est pas suffisant. Il est d’autant moins efficace, tant sur les personnes atteintes d’un cancer que sur les personnes immunodéprimées. Dans ces cas précis, l’injection d’anticorps ne se portera pas sur le virus COVID-19, ils seront engloutis pas le cancer.

L’éradication, en amont, peut se faire par rayons ultraviolets, en se rappelant que le virus ne leur résiste pas plus de quelques minutes. On peut aussi utiliser des épurateurs d’air qui détruisent également les virus mais qui sont beaucoup plus onéreux.

Ce que je propose est, pour le moins, une nécessité et une alternative au vaccin.

Prendre les devants, pendant l’été où les virus se réfugient dans les lieux clos pour se protéger du soleil, me paraîtrait être la solution que tous les gouvernements du monde devraient adopter.

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