Qu’est-ce qui peut rendre heureux un peuple ?

Pour tous, c’est la vie sans maladie, sans contrainte. En fait, c’est la liberté.

Pour d’autres, c’est la liberté d’y parvenir, par le travail. Pour d’autres encore, tout est dû parce qu’ils n’ont jamais demandé à arriver au monde. Pour d’autres aussi, ils y a ceux qui attendent qu’on leur trouve un chemin introuvable.

Il y a encore ceux qui croient tout savoir sans rien apprendre de la vie. Il y a ceux qui veulent tout sans rien donner en échange. Il y a les enfants qui subissent l’école et d’autres qui sont fiers et heureux d’apprendre.

Il y a ceux pour qui l’argent et leur Dieu. Et il y a ceux qui travaillent, qui recherchent, qui innovent, pour leur plaisir et pour leur bonheur.

Dans toutes ces situations, il est difficile de trouver un bonheur unique pour tous. Et pourtant, il y a chez chacun d’entre nous une petite étincelle qui éclaire son bonheur pour le rendre heureux.

Le rôle de l’État est de donner à chacun les moyens d’être heureux, en commençant par l’école du savoir.

Par des professeurs qui savent transmettre leur savoir ; ce qui  n’est pas toujours évident.

Il est du devoir de l’État de faire en sorte qu’il y ait du travail pour tous en appliquant les techniques, les découvertes, que l’État se refuse souvent à appliquer pour protéger quelques-uns qui ne le méritent pas.

Non, nous ne naissons pas égaux mais on a, tous, les moyens d’y parvenir en acceptant l’évidence et le travail comme outil, dans une vie en pleine forme et en acceptant ce que nous offre la nature, tout simplement.

JE VAIS M’ATTIRER LES FOUDRES

Oui, j’ose dire, pour l’avoir subi, que nombre de professeurs et d’enseignants, à tous les niveaux, n’ont pas leur place dans l’enseignement. Je dirai même qu’ils font perdre du temps aux élèves qui les écoutent sans rien y comprendre.

On critique toujours le niveau de l’enseignement. Les élèves  n’en sont pas la cause mais beaucoup plus certainement leurs professeurs qui  ne savent pas capter leur auditoire, entraînant très souvent le chahut parmi les élèves.

On ne garde pas le silence contraint et forcé mais par la valeur, le contenu et l’image des cours qui sont prodigués. Un bon professeur obtient le silence et évite le chahut par sa propre présence, par le respect qu’il inspire, par la force qu’il communique.

Nous avons tous eu des professeurs que l’on a gardé dans nos mémoires tellement ils nous ont appris. Il y a d’autres professeurs qu’il serait préférable de ne jamais écouter.

Pardonnez-moi, Messieurs les professeurs de l’Éducation Nationale, il n’y a pas que les élèves bons et mauvais qui soient la cause du déclin de l’enseignement en France. Et le déclin de l’école, c’est le déclin de la France que nous ne pouvons accepter.

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