Quitter le mali : une erreur

Quitter le Mali et les pays limitrophes du Sahara est une erreur stratégique, géopolitique, écologique et économique.

Tous ces pays sont les outils nécessaires. Ils évitent que le désert ne s’étende à une vitesse de 18m2 à la seconde. Tous les pays périphériques au désert doivent être aidés, non seulement pour le risque djihadiste mais surtout pour stopper le réchauffement climatique,  et le désert en est la seule cause.

C’est le désert qui finira par nous mettre sur le grill. Et si les Djihadistes en deviennent les maîtres, ils auront entre les mains l’arme la plus redoutable pour étouffer l’Occident.

Quitter le Mali et les pays périphériques au Sahara, ce n’est pas seulement une erreur. C’est une faute et c’est le devoir des militaires de nous protéger. Non pas des armes, mais du réchauffement climatique et ce, quoi qu’il en coûte.

Cette  décision est beaucoup plus une décision post-présidentielle ; elle n’est pas réfléchie. Le gouvernement ne fait rien de précis, de concret et de définitif pour protéger sa population de la mort. Et les moyens nécessaires sont ridiculement faibles pour un résultat si important.

Les Chinois, les Russes, veulent s’étendre dans ces pays mais, après de multiples essais, ils ont échoué à chaque fois. La France, mieux que quiconque, connaît ces pays, et pour cause. Ce qui fut la colonisation ne doit pas se terminer en un désastre écologique et stratégique, voire économique et ce, dans l’intérêt de la France. On ne peut pas laisser se construire des armes aussi redoutables, cent fois supérieures à toutes les bombes nucléaires existantes.

Hier, on recevait, plusieurs fois dans l’année, des millions de tonnes de sable qui se déposait sur nos voitures, sur nos terrains. Demain, si l’on ne fait rien, si l’on quitte le Mali, on ne sera pas enseveli sous du sable. Mais on sera brûlé par la chaleur du Sahara. Et nous serons affamés car les cultures n’existeront plus dans nos pays tempérés.

LA HAINE

On ne construit rien, ni par la colère, ni par la haine. On peut critiquer en proposant des solutions alternatives. Critiquer par la haine, c’est créer une situation révolutionnaire et la révolution politique n’a jamais rien apporté.

Notre gouvernement, mais aussi les Français, ont la haine de l’autre et spécialement de ceux qui n’ont pas la même religion que nous. La critique est toujours louable en échange de solutions, en échange de découvertes, en échange d’innovations, en échange de réalisations espérées, en fait, dans l’intérêt général d’un apport au bonheur et à la vie des Français.

On ne fait pas pousser un épi de blé sans y mettre une graine. La haine n’est pas le terreau qui peut faire changer les choses. La haine n’est que le terreau de la mort et de la violence.

Il existe aujourd’hui, en France, un climat de colère mais aussi de haine car ces promesses qu’on nous a faites sont loin d’être réalisées et la vie suit son cours avec la maladie, avec les virus, avec le cancer. Tout ceci crée la haine contre nos dirigeants.

Nous allons avoir, en France, une période pré-électorale. J’ose espérer que les programmes proposés dépasseront la critique au profit de réalités. Il est urgent d’apaiser le climat actuel en France.

Ce que je propose, dans l’intérêt général, permettra de redonner vie et espérance aux Français, sur le plan économique, certes, par le financement du social sur le budget de l’État, mais surtout en protégeant leur vie, non pas par du bricolage mais par des solutions d’éradication des causes qui provoquent la maladie.

Durant l ‘été, nous avons la chance de pouvoir piéger les virus dans les endroits où ils se sont cachés, au frais. À nous de les détruire et ce, dans tous les locaux où le soleil ne pénètre pas.

La politique a ses exigences mais si elle entrave la vie des gens, alors elle le transforme en colère et en haine. Car, en fait, au-delà des avantages économiques, c’est la vie qui compte en premier et la liberté s’en suivra.

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