Où se cache le virus pendant l’été

Est-ce qu’on s’est seulement posé la question ? On se l’est bien posée pour les moustiques tigres ? On se pose bien la question pour les fourmis, pour les pucerons… d’où viennent-ils ?

Pour les virus, il faut donc les démasquer, que ce soit chez nous, ou en Europe, ou en Asie. Pour les moustiques, on s’est aperçu que là où il y avait de l’eau stagnante, il en naissait des nuées.

Je pense que, pour le coronavirus, le bon sens voudrait qu’il se cache du soleil mais où ?, je ne le sais pas.

Les virus ne se déplacent pas tout seuls : ou ils se cachent, ou ils sont transmis. C’est la nature, l’ours dort bien tout l’hiver pour se réveiller à l’été. Il semble d’ailleurs qu’il ne s’alimente pas durant cette période. Pour le virus, c’est le contraire, il dort l’été et se réveille en hiver.

Je ne crois pas non plus au retour systématique du coronavirus vers ses origines : il est là et il se peut qu’il se réveille mais peut-être seulement dans trois ou quatre ans. Il faut donc le prévoir en l’évitant par tous les moyens possibles, en le tuant par tous les moyens.

C’est un peu comme une comète qui passe de temps en temps. Alors, comment éradiquer ce virus ? Est-ce qu’il faut trouver des espaces froids en été, sans soleil ? Bien malin d’ailleurs celui qui dira qu’il l’a vu. Il faut donc le suivre à la trace là où il pourrait être. C’est comme les frelons asiatiques : si on ne détruit pas les nids, nous n’aurons plus d’abeilles.

Ainsi est faite la nature et je pense que les chercheurs ont là un bon terrain de recherche. Mais on a pris l’habitude d’attendre que le mal soit là pour le soigner. Pas de chance : il  n’y a ni médicaments, ni vaccins.

Je m’adresse à tous les Français pour qu’ils prennent leur revanche par la chasse au trésor car, aujourd’hui, c’est 300 000 morts dans le monde, demain on ne sait pas, si rien n’est fait.

On a bien trouvé la solution pour les nids de frelons, on pourra peut-être trouver la solution pour les nids de virus qui ne se réveillent que dans des conditions précises climatiques ou autres et qu’il faudra peut-être étudier par le constat, par le bon sens.

On nous a toujours dit que la grippe venait de l’Est, c’est possible mais commençons au moins à mettre des embuscades car  l’aéroport en est bien le premier distributeur.

…et que dire des bateaux de marchandises ou de croisière !

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