L’urgence des urgences

Beaucoup de virus, tant pour l’homme que pour l’animal, proviennent de l’étranger et souvent hors de l’Europe.

La mondialisation a voulu qu’il y ait sans arrêt une transhumance par voie aérienne dans nos avions. On va, on vient et l’on transmet.

C’est donc au niveau des avions et des aéroports que se trouve l’urgence car la source est là.

Alors, dès demain, il va falloir équiper les avions d’un dispositif qui permettra, pendant une demi-heure, durant le trajet, de chauffer l’avion à 40° en y ajoutant  un brin d’oxygène ainsi que des lampes à ultraviolets installées dans l’habitacle et  qui fonctionneront par intermittence.

Il est indispensable que dans tous les aéroports, quels qu’ils soient, privés ou publics, on équipe les couloirs existants de dispositifs sanitaires, c’est-à-dire de la chaleur à 40° et des lampes à ultraviolets tout du long. Les couloirs existent, il suffit de les équiper. Ce sera une obligation sanitaire de se débarrasser des virus avant qu’ils ne rentrent sur les territoires.

Il faudra en faire de même pour les bagages et là ce sera encore plus facile. Ces couloirs devront avoir au moins 100 mètres. Les lampes à ultraviolets ne devront fonctionner qu’une minute sur deux mais tout le monde devra emprunter ces couloirs, y compris les pilotes et les hôtesses de l’air.

Avouez tout de même que le coût de ces installations ne représentera même pas le millième de ce que l’on a dû dépenser pour le coronavirus, et pour tout le monde, ce sera la fin de la peur parce qu’on aura pris les dispositions nécessaires.

Il va de soi que ce dispositif devra être en place et fonctionner depuis le début du mois d’octobre jusqu’à la fin mars, au minimum. Et je pense que, dans les aéroports, il serait raisonnable qu’il soit en place durant toute l’année.

La même urgence doit valoir pour les EHPAD où se retrouvent plus de 700 000  de nos anciens ; il faudra aussi mettre d’urgence ces couloirs dans toutes les maisons de santé et de retraite.

C’est une forme de confinement qui ne coûtera rien car dans ces couloirs où passera tant de monde, l’installation de la publicité paiera largement les frais.

Il va de soi que tous les avions de toutes les compagnies aériennes devront être ainsi équipés faute de quoi ils n’auront pas le droit d’atterrir. Cela facilitera bien les choses et évitera toute quarantaine.

Le bon sens doit triompher.

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