Nous allons entrer dans un rêve d’après-guerre

Nous allons entrer dans un rêve d’après-guerre, sauf qu’après la guerre de 39-45, il y avait un gagnant qui a pris le pouvoir.

Un gagnant qui a évité que la France ne devienne une annexe des États-Unis. Nombreux sont ceux qui l’ont oublié.

Aujourd’hui, on est dans la même situation financière, morale, technique, industrielle, agricole, touristique, d’après la deuxième guerre mondiale avec, en surplus, une dette colossale qu’il faudra rembourser dans les vingt ou trente ans qui viennent. Bien sûr, on pourra faire un hold-up financier en provoquant une dévaluation massive…

La crise sanitaire aurait pu être évitée en empêchant, dès le départ, la circulation du virus en l’éradiquant par les rayons ultraviolets. De toute manière, il faudra bien y arriver demain.

Nous en sommes à 110 000 morts, et au rythme actuel, on approchera les 150 000 morts d’ici la fin de l’année 2021.

En 1945, il y avait un chef incontesté. Dès 1946, le Général de Gaulle mettait en place un système de financement du social.

Ce système a vécu, désormais, en raison de la mondialisation. Il va donc falloir accepter de transférer les charges sociales sur le budget de l’État et non sur celui du travail.

A son retour au pouvoir, ce même homme a mis en place un système de dissuasion nucléaire. Ce dernier nécessite aussi aujourd’hui de lui adjoindre des vecteurs de transports ou de lancement des bombes nucléaires.

En 1946, le Général de Gaulle a donné le droit de vote aux femmes.

Par ces trois décisions, il a réussi à redonner à la France une envie de vivre et un honneur sur le plan international. En un mot, il faut aujourd’hui un homme, une équipe, qui prendra le même type de solutions et ces solutions-là existent, tant pour la vie des personnes que pour leur bien-être et leur pouvoir d’achat.

La tâche est immense mais la situation se prête à ces solutions révolutionnaires, dans l’intérêt national.

Bien sûr, ce n’est pas le seul quinquennat de Monsieur Macron qui est en cause mais cela fait cinquante ans qu’on joue avec les Français, qu’on leur donne des espérances qui ne seront jamais réalisées.

En revanche, tous les gouvernements successifs, depuis 1970, ont favorisé la mise en place de monopoles, qu’ils soient d’État ou privés, et l’on voit où cela nous a menés. Les monopoles d’État sont tout aussi dangereux que les monopoles privés ; ils utilisent la même arme, la spéculation au détriment des Français.

Ma solution consiste en deux lignes :

  • imposer par ordonnance la modification du système de financement du social
  • mettre en place un nouveau dispositif sanitaire qui redonnera vie à la France et aux Français, qui éradiquera les virus et les cancers.

C’est cela la France des Lumières ! Abandonner notre indépendance au profit des États-Unis ou de la Chine est dramatique.

Français de tout bord, redevenons la France, une France qui a toujours su apporter au monde les solutions nécessaires pour une vie meilleure.

L’IMMIGRATION, UN COUCOU DANS LE NID D’AUTRUI

Tous les Français entendent, chaque année, le chant du coucou dans nos campagnes. On dit même que si vous avez une pièce dans votre poche, ce jour-là, vous ferez fortune.

Aujourd’hui, les émigrés jouent ce rôle du coucou, à cette différence près qu’ils veulent s’installer dans le nid de la France pour y prendre les allocations familiales et, trop souvent, vouloir nous imposer une religion qui n’est pas la nôtre, une civilisation qui n’est pas la nôtre.

Il fut une époque où l’immigration, polonaise, espagnole, portugaise, avait une grande importance en France, mais ces émigrés avaient tous la même religion, ils avaient tous la volonté de travailler avec les Français et non contre les Français.

Est-ce une mission impossible en ce qui concerne les musulmans ?

Nous n‘accepterons jamais qu’ils installent en France une religion qui n’a rien à voir avec la religion judéo-chrétienne.

Les coucous, chaque année, vont pondre dans le nid des autres ; c’est ainsi qu’ils assurent leur pérennité. Si les émigrés nous apportent aussi beaucoup d’enfants : ce serait une chance pour la France si ces mêmes enfants n’étaient pas détournés des lois, des traditions et des règles de notre civilisation.

La France a toujours été une terre d’asile mais pas une terre d’occupation. Il faut que les émigrés sachent que le coucou chante et enchante nos contrées ; même s’il se développe dans le nid des autres, il n’apporte que le bonheur. Aujourd’hui, les émigrés, en France, n’apportent que la haine et le terrorisme. Certes, ce n’est pas le cas de tous mais c’est à eux de faire le ménage s’ils veulent rester en France.

Que l’on fasse le maximum pour aider ces pays qui ont obtenu leur indépendance à devenir des nations identiques à la nôtre, pourquoi pas ? Et je pense que c’est la meilleure solutionpour que ces émigrés veuillent rester chez eux pour y vivre dans les mêmes conditions que nous, ou presque.

La solution de l’interdit ne conduit pas souvent au résultat.

C’est à nous, après leur avoir donné l’indépendance, de leur donner les moyens de vivre, non pas par des subventions mais par des techniques de cultures et de savoir industriel. Nous ne gagnerons pas cette guerre-là par la force, nous la gagnerons en participant à leur développement, faut-il encore que les moyens donnés par l’Europe et la France soient utilisés à ce développement et non à enrichir quelques chefs d’État.

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