Nous avons tous notre chance, faut-il encore que l’on applique la rigueur nécessaire pour la développer. Quand on fera le bilan de ce quinquennat, non seulement il sera négatif mais, plus grave encore, il aura conduit le peuple de France sur des plages de sables mouvants. La chance se cultive. La chance nécessite l’autorité, une autorité qui ne soit pas imposée, mais une autorité reconnue.
Il ne peut pas y avoir de chance si l’on refuse l’évidence et le bon sens. La compétence : elle est partout, mais à quoi sert la compétence si c’est pour prendre toujours les mauvais chemins ?
Une fois de plus, notre Président a pris le mauvais chemin en imposant la vaccination et en osant dire que les scientifiques pourraient trouver la solution pour soigner les cancers. La seule voie possible pour la France, ce n’est pas de subir, c’est d’éradiquer les virus, comme les cancers, avant qu’ils n’atteignent l’homme.
Il ne faut pas confondre prendre des risques et avoir de la chance. Un risque est calculé, la chance nous est offerte. La découverte nécessite un peu de chance, faut-il encore accepter d’appliquer cette découverte. Le pouvoir n’avait pas le droit de refuser, sans avoir essayé, l’éradication des virus. Il aura150 000 morts sur la conscience.
Depuis quelques jours, tout le monde se réjouit de voir la pandémie se réduire mais d’où cela vient-il ? Car, en France, il y a à peine 10 millions de personnes totalement vaccinées. Cette année, comme l’année dernière, on va avoir un répit de quatre mois et, vaccinés ou pas, la pandémie reprendra dès octobre car, de toute manière, il n’y aura qu’un seul Français sur trois qui sera, peut-être, immunisé.
C’est vrai que Monsieur Macron n’a pas eu de chance ; il a eu des révoltes sociales, il a eu les Gilets Jaunes et aujourd’hui, il a la pandémie. Mais, dans aucun de ces cas, il n’a apporté de solutions, je dis bien des solutions réelles, dans l’intérêt de la France. Tout au contraire, il a défendu et apporté, comme d’habitude, le renforcement des monopoles et de la spéculation au détriment de tous les Français. Nous constatons, une fois de plus, que l’on continue à créer des monopoles, ne serait-ce que dans l’audiovisuel, aujourd’hui. On continue à vendre nos usines, notre savoir. Nos exportations se sont écroulées, nos importations ont flambé. Est-ce là la solution pour la France ?
Si le Président de Gaulle avait tout fait pour redonner aux Français l’honneur d’être Français, aujourd’hui, être Français aux yeux du monde n’a guère de valeur. De Gaulle avait apporté le respect de la France, il avait apporté la liberté pour tous les peuples en voie de développement, il avait apporté la dissuasion nucléaire, il avait évité le risque d’être une annexe des Etats-Unis.
Aujourd’hui, que sommes-nous donc devenus malgré tous les génies qui existent en France ? En fait, ce n’est plus Monsieur Macron qui dirige, c’est l’argent qui dirige la France ; un argent que l’on fabrique, de surcroît, de l’argent-papier.
La spéculation a ravagé la France et si j’ai réussi à casser trois monopoles, il va falloir, à présent, casser le monopole de l’énergie et le monopole du sanitaire. Lourde tâche, n’est-ce pas, mais il faudra bien que quelqu’un le fasse pour arrêter la progression de la spéculation de la même manière qu’il faudra bien négocier avec tous les pays entourant les déserts si l’on ne veut pas passer sur le grill.
Quel sera donc celui qui aura cette chance de redonner à la France ce qu’elle a toujours été ?
Y A-T-IL UNE SOLUTION ?
La santé, l’économie, l’industrie, le social, le tourisme, la culture, ne sont pas vraiment des problèmes. Chaque problème a sa solution ; alors, pourquoi ! Est-ce simplement un problème d’homme ou d’équipe au pouvoir ? Ou est-ce plutôt ceux qui, de l’extérieur, veulent anéantir la France. Je veux dire par-là : le monde de la spéculation, le monde des monopoles mais aussi le monde des religions. Et chacun de ces problèmes a une solution, faut-il encore le vouloir. Il est plus facile de faire payer les petits que d’arrêter la folie des grands.
Evidemment, la solution de facilité a prévalu sur la nécessité de prendre les chemins, ceux que la France avait toujours préconisés. Que ce soient les monarchies, que ce soient les républiques, à chaque fois c’est l’argent qui a tout détruit.
Devant cette arrogance, il nous faut trouver l’homme qui n’aura pas peur et qui n’engendra pas la peur chez les Français. Aujourd’hui, c’est exactement le contraire, on fait tout ce qu’il est possible de faire pour créer la peur. Mais la peur conduit toujours au désordre et à la chienlit.
Tout ce petit monde qui profite regarde la France s’enfoncer dans les sables mouvants. Mais les Français ne sont pas d’accord, ils veulent une nation forte, ils veulent être fiers d’être Français. Ils veulent que leur travail soit reconnu et non point anéanti par l’argent.
Nous savons qu’elle est la voie et quelles sont les lignes directrice à prendre. La France ne s’en sortira pas par l’argent, elle s’en sortira par le travail de tous, par le respect de tous, par le pouvoir d’achat de tous.
Les Français veulent vivre, ils veulent bien vivre de leur travail, ils ne veulent pas être des assistés ; ceux qui disent cela sont des menteurs à leur profit.
La France, pays des Lumières, a aujourd’hui, plus que jamais, les solutions nécessaires pour l’avenir, dans tous les secteurs. Certes, il faudra retrousser nos manches, mais nous gagnerons.
