Le rouge est-il devenu la solution ?

Mettre sur la carte un département en rouge, c’est aussi mettre ses habitants en rouge à la banque à chaque fin de mois.

On ne devrait accepter de mettre en rouge que si on apporte une solution crédible à cette couleur et aux conséquences qu’elle entraîne.

Mettre en rouge et ne pas imposer de solution là où se trouve aussi un virus qui n’a pas vu le soleil, n’est qu’une illusion. Mais, comme d’habitude, on choisit une sorte de facilité sans d’ailleurs être certain du résultat, un résultat qui n’a plus lieu d’être. C’est comme si on envoyait à l’hôpital pour une simple égratignure sans conséquence.

En effet, les nouveaux cas testés en grand nombre ne sont que des égratignures et certainement pas de nouveaux cas contaminants.

Les Chinois doivent bien rigoler car ils vendent encore plus de produits sans valeur, sans qualité,  mais que l’on commande parce qu’on était en confinement.

Il y a encore peu de temps, quand un enfant s’égratignait au genou, on lui disait : debout, soit un homme ! Le courage, face à l’adversité, n’est plus dans le logiciel.

J’aurais tendance à dire : debout la France, il va falloir travailler pour gagner son pain quotidien, et le rouge qu’on nous impose sera dès lors ridiculisé.

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