Non seulement il serait absurde de s’opposer à la mondialisation qui est une évidence, mais il faut aussi se préparer à une concurrence interplanétaire des matières premières car il est fort possible que nous trouvions sur d’autres planètes des minerais rares dont nous avons besoin.
La mondialisation n’est pas une maladie mais c’est une évidence à laquelle il faut s’adapter. Autrement dit, face à la facilité, à l’endormissement, il faut prendre toutes les dispositions nécessaires pour accompagner la mondialisation comme il faudra se préparer à une économie interplanétaire pour les années 2050-2070.
La mondialisation est un plus sur tous les plans, sanitaire, économique et sécuritaire. Ce ne sera plus l’obligation du plus fort mais celle de l’évidence. On n’arrêtera pas le progrès, on s’adaptera.
Ne pas s’adapter, c’est inévitablement s’orienter vers des conflits de civilisation. La peur de l’inconnu d’aujourd’hui doit créer la chance du lendemain ; un lendemain heureux ne parviendra que par le travail, par le bon sens, par la vérité, qui nous conduiront à l’évidence.
Il est certain que tous vont chercher à se privilégier : c’est humain. A chacun d’être dans le peloton de tête de la course afin d’être à tout moment sur la ligne d’arrivée et de partager ainsi l’effort qui aura été nécessaire.
C’est une course qui sera intéressante pour tout le monde. Il y aura toujours un premier et un dernier mais chacun y trouvera son compte car, si un jour on doit aller sur les planètes, il faut savoir qu’il y aura une planète pour chacun des habitants du monde entier. Cela prouve qu’il y a de la place pour tout le monde !!!
Je ne crois pas au bonheur sans apporter des solutions et du travail. Faut-il encore le protéger.