Il y a des lumières qui n’ont peur de rien et des besogneux qui ont peur de tout.
Les lumières, ce sont ceux qui, comme les comètes, laissent derrière eux un sillage lumineux et qui sont respectés. Ce fut le cas des Présidents de Gaulle, Adenauer et Kennedy.
Il y a les besogneux qui ne font les choses qu’avec des demi-mesures, sans résultat, en définitive, et qui ont du mal à être respectés.
C’est peut-être le problème de la France d’aujourd’hui.
On a peur des lumières, il n’y a plus d’autorité et plus de respect de rien. On ne respecte plus les vieux. Quant aux enfants, les voilà dans la jungle, qui ne respectent rien et même pas leurs professeurs.
A la faculté, il y a ceux qui écrivent l’essentiel d’un cours sur un timbre-poste et il y a ceux qui remplissent des ramettes de papier sans rien n’y comprendre.
Il y a ceux qui redoutent une éventuelle relation et il y a ceux qui ont confiance en eux.
En politique, pour vous ne fâchez personne, on prend des demi-mesures, sans résultat.
Aujourd’hui, il est urgent, dans l’intérêt général et dans l’intérêt du pays, de mettre en application, non plus des discours, mais un réacteur sanitaire un réacteur social, un réacteur économique. C’est la solution pour que l’Europe redevienne une puissance, guidée par l’esprit français. Et, pour ce faire, il faut que la France redevienne une nation forte et reconnue comme telle.
