Ne promettez pas ce que vous ne pouvez pas tenir.
Vous nous annoncez une vie normale à mi-avril, c’est vraiment jouer avec l’impossible. Tout cela dépend de ce que l’on appelle une vie normale. Si c’est s’habituer à 300 morts par jour et à vivre comme des reclus… peut-être que oui.
Non, il faudra attendre, au plus tôt, la mi-juin début juillet pour voir le virus s’éteindre progressivement ou s’endormir jusqu’au mois de septembre.
Ce ne seront, ni les masques, ni le confinement, ni les vaccins, mais ce sera le soleil qui montrera sa puissance comme d’habitude, avec sa chaleur et ses rayons ultraviolets. Les écoles se fermeront et, à la mi-juin début juillet, c’est le soleil qui apparaîtra dans nos cœurs.
On ne peut avoir une vie normale sans une liberté totale, même en se cachant derrière des masques.
Le travail devient alors obligatoire et non point désiré, les loisirs, la culture, sont mis sous le boisseau.
Il faut arrêter de mentir au peuple. Il n’y aura, au mois de juillet dans le meilleur des cas, qu’un Français sur quatre qui aura été vacciné, sans en connaître la dangerosité, ni l’efficacité.
Le plus terrible, dans tout cela, faute d’avoir fait le nécessaire pour éradiquer le virus, c’est que tout recommencera au mois d’octobre. Oui, le virus est tenace et si les Français peuvent prendre quelques jours de récréation aux mois de juillet, août et septembre, il n’en sera pas de même au mois d’octobre et tout recommencera par le mal, qu’on n’aura pas voulu éradiquer.
Va-t-on, un jour, et je vous en supplie, accepter non pas de soigner le mal, mais de l’éradiquer ! On voit les dégâts qui ont été faits par le virus. Il est impensable d’envisager une autre solution que l’éradication.