Le virus parti, il faut payer l’addition

L’ours dort l’hiver et se réveille au printemps. Le virus dort l’été et se réveille en hiver.

Le virus a horreur des rayons ultraviolets et de la chaleur du soleil. Je ne sais pas s’il a eu le temps de partir ou de s’endormir mais personne n’a cherché à le suivre.

Pour l’Europe, l’addition sera de 5 000 milliards. Pour la France, la solution d’indépendance coûtera 50 000 milliards sur 10            ans. Une mutualisation de cette addition, en Europe, aura bien du mal à se faire ; ce serait pourtant l’épilogue de l’Europe. Et pourquoi pas ? L’Europe a décidé hier de mettre à la disposition des Etats 500 milliards de plus.

Mais l’Europe est aujourd’hui en danger. Elle subit de nombreuses attaques absurdes mais bien réelles. Ces attaques proviennent toujours de la spéculation et des spéculateurs. Le monde financier va tout faire pour empêcher la mutualisation des dettes. Il est vrai qu’il est difficile de mélanger les bons et les mauvais élèves. Un mixage ne fait pas grandir les mauvais élèves mais empêche les bons  élèves de progresser.

Le virus s’est évadé. Il est parti mais l’on n’a toujours pas compris ou pas voulu croire que, pour l’avenir, la seule solution est de reconstituer les effets du soleil chez soi quand le virus apparaîtra à l’horizon. Et pour ce faire, rien de plus simple mais faut-il encore le vouloir et ne pas être entravé en  permanence par des idéologues de la médecine.

Même l’OMS n’a pas fait son travail. Même les Etats, souvent inconsciemment, n’ont rien prévu et n’ont rien cherché, y compris pour les masques.

Ce qui est terrible, c’est qu’aujourd’hui, on passe des commandes de milliards de masques, alors qu’on n’en a plus besoin. Et même si  le virus était encore là, il est devenu inoffensif.

Pendant la guerre de 39-45, tout le monde avait peur de l’autre. On avait davantage peur de son voisin que des SS qui passaient dans la rue. Le virus est passé, il a laissé derrière lui une traînée de morts mais la peur est restée. Cette peur qui détruit tout et que l’on semble exploiter, je ne sais à quelles fins mais il y a toujours derrière tous ces événements des guetteurs, des léopards prêts à bondir sur leurs proies.

Est-ce que ces événements auront laissé la moindre leçon ? Demain, ce sera le réchauffement climatique qui nous tuera et que fait-on ? De grands discours, certes, de bonnes intentions, certes, mais l’essentiel, comme toujours, est oublié. Là aussi  il faut réguler et tuer la cause que nous connaissons bien mais qui va coûter quelques milliards de dollars : ce sera toujours moins que les 30 000 morts en France et plus de 200 000 dans le monde.

Faire barrage au réchauffement climatique ne coûtera guère plus de 10 milliards. Il faut faire barrage aux déserts. On n’a pas su faire barrage au virus parce qu’on n’avait rien prévu. Devra-t-on subir les affres du réchauffement climatique  qui fera de nos terres fertiles, des déserts ? En tous cas, on n’en prend pas le chemin.

 Et quand, cet été, qui n’est  pas très loin, la sécheresse fera ses ravages, on n’aura toujours rien prévu. Alors, aux morts de la crise économique et sanitaire viendront s’ajouter les morts de la crise agricole.

Oh, je ne veux pas entraîner de panique mais je demande simplement un peu de bon sens. Emprunter de l’argent, des centaines de milliards ne servira pas à grand-chose si la vie devient impossible dans nos contrées.

Alors, la seule peur que nous devrions avoir, c’est celle de ne pas avoir évité la peur que nous avons aujourd’hui. Et si l’on n’empêche pas les déserts de progresser, ce ne sera pas 30 000 morts mais 30 millions de morts que nous aurons.

Alors, on va me dire : on va s’acclimater. Mais quelle insolence ! C’est la même chose que les masques. On ne s’habitue pas à porter un masque, qui ne sert d’ailleurs plus à rien. Quand toutes nos forêts et  nos plaines entreront dans un immense brasier, que fera-t-on ?

Quand je vois la peur qu’a entraînée un seul petit virus, je me pose la question de la panique qui se produira alors. On n’a même pas été capable de neutraliser ce micro virus ! Alors qu’il y a des solutions. Et on n’est même pas capable d’aller le poursuivre là où il va continuer son chemin.

On devrait savoir que les virus vont à l’encontre du chemin du soleil, ils ne tournent pas dans le même sens.

Il est curieux, tout de même, de voir que les chirurgiens ont été capables de neutraliser les virus de leurs masques en quelques minutes par des rayons ultraviolets. Alors, pourquoi commander autant de masques qui  ne serviront à rien ? Et comme pour les réserves stratégiques de l‘armée, il faudra un jour les détruire.

N’ayons pas peur, disait Jean-Paul II ; il faut faire face à tous les problèmes, fussent-ils de la nature. Dire qu’on va avoir des vaccins, peut-être, mais la solution est peut-être aussi d’empêcher d’arriver le virus de la même manière qu’on doit empêcher les déserts d’arriver.

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