Est-ce démocratique de refuser les solutions ?

Est-ce démocratique de ne pas essayer tous les antidotes que nous offre la  nature ? C’est probablement trop simple et cela ne rapportera pas grand-chose financièrement, si ce n’est de conserver la vie…

Une fois pour toutes, il faut savoir que l’on résoudra le problème des virus et des cancers uniquement par des solutions naturelles et non par des tripatouillages en tous genres.

Les médicaments permettent de soigner mais jamais d’éviter les causes. Ils prolongent tant bien que mal la durée de la vie. L’épée de Damoclès plane toujours au-dessus de nos têtes. Mais quand comprendra-t-on qu’on ne vit pas avec la mort ?

La démocratie la plus élémentaire impose de tout essayer, que ce soit extra médical ou médical.

La seule solution est d’une part, d’éradiquer le virus, et d’autre part d’éviter la construction des cancers, en s’attaquant aux causes.

Vouloir se cacher la face n’est pas démocratique et remet en cause le principe de la protection de personnes en danger.

Oui, il faut accepter de remettre en cause la fortune des laboratoires, dont on connaît la source. Je n’ai rien contre les laboratoires, mais ils ne font pas leur travail. Leur raison d’être est de « vivre avec » le mal et de s’y habituer.

Dire qu’on a tout essayé quand on a oublié l’essentiel ou quand on n’a pas voulu appliquer l’essentiel, est pour le moins troublant et antidémocratique.

Pour apporter des solutions efficaces, il faut d’abord avoir du talent et de la persévérance.  C’est exactement ce que m’avait demandé le Général de Gaulle, il y a de cela soixante ans. De Gaulle s’occupait de son peuple, de sa vie, de son existence. Est-ce le cas aujourd’hui ? La réponse aujourd’hui est dans les cimetières et dans la pauvreté.

DE QUI SE MOQUE-T-ON

 Le Président de Pfizer décrète qu’il faut une troisième injection, et chaque année, ou chaque 6 mois, une piqûre de rappel. C’est consternant.

Et c’est ce chemin qu’on veut prendre ?

L’éradication, ce n’est rien de tout cela et c’est la seule solution pour un seul résultat positif.

Cela me fait penser aux constructeurs d’appareils électroménagers qui construisent leurs appareils pour une durée limitée afin de pouvoir vendre toujours plus.

Et l‘on pourra bientôt dire, non pas qu’il faudra vivre avec le virus, mais qu’il faudra vivre avec le vaccin. Est-ce une solution loyale et honnête ?

Je demande au peuple de s’y opposer et d’appliquer la seule solution qui vaille et, qui plus est,  naturelle.

On essaye de nous mettre sur un chemin à sens interdit et l’on sait où cela mène quand on s’y engage.

Mais de qui se moque-t-on ? Je n’accuserai pas ce qui ne savent pas et qui n’ont pas cherché à savoir ; ce n’est pas leur métier. Mais celui de la politique est d’anticiper et, aujourd’hui, on ne fait que subir, par défaut.

Non, je veux conserver ma vie entre mes mains et j’éradiquerai les causes, du virus comme du cancer. Rien ne se fera du jour au lendemain car l’évidence met toujours du temps à éclater.

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