La vie d’autrui

Il est un peu facile, voire ridicule de mettre la responsabilité de la vie d’autrui sur le citoyen lambda.

L’État, en n’éradiquant, ni le virus, ni les cancers, met toute la population en danger. Il est le premier et le seul à ne pas respecter la vie d’autrui. C’est à l’État de protéger la population en faisant le nécessaire pour éradiquer le virus et non pas pour soigner les conséquences du virus.

Pour le virus, nous avons la solution qui est la désinfection généralisée de tous les lieux publics et privés où passe et séjourne la population ainsi que les lieux de stockage, réfrigérés ou pas. Pour ce faire, nous avons de multiples moyens et tout spécialement les épurateurs d’air à ultraviolets.

Il en est de même pour le cancer. Que fait l’État pour ne pas mettre la vie des citoyens en danger ? Ce n’est, ni l’alcool, ni le tabac, ni la malbouffe, ni la drogue, qui sont les causes du cancer ; ils sont, tout au plus, des facilitateurs.

La seule cause du cancer est la privation d’oxygène des cellules, à un moment donné et pendant un temps donné. Ce manque d’oxygène provient uniquement d’un manque d’alimentation des cellules en sang (qui contient l’oxygène), car c’est le sang et seulement le sang qui apporte l’oxygène aux cellules.

Alors, vous allez me dire : pourquoi et comment ? Les micro vaisseaux sont obstrués par la pression des variations atmosphériques au-delà de 1013 millibars et ils représentent 40 000 km dans le corps humain. Les cellules meurent, faute d’oxygène et elles circuleront dans le sang quand la circulation sera rétablie pour se loger dans les organes filtreurs et former un nodule ; elles sont des millions à mourir dès que la pression atteint 1020 à 1030 millibars et encore pire, à 1040 millibars.

C’est un baromètre qui donne ces indications, au jour le jour. Alors, la solution, et la seule solution, est de réguler la pression atmosphérique quelques heures par jour dans un espace limité où l’on séjournera.

Mais que fait l’État ? Il connaît la cause,  il connaît la solution. N’est-ce pas lui qui met la vie d’autrui en danger ? Soigner à contretemps, pourquoi pas, mais c’est trop tard. Éviter est la seule solution.

C’est probablement trop simple… et cela dérangerait le monde médical qui n’a pas été capable et qui n’est toujours pas capable d’enrayer virus et cancers. Il est vrai qu’il est beaucoup plus rentable de soigner que d’éviter. Serait-ce encore une question d’argent ?

Quand on aura compris ce qu’il faut faire, on aura fait un pas de géant pour l’humanité.

ON ACCUSE TOUJOURS L’AUTRE

Quand il y a des problèmes, que ce soit au plan sanitaire, politique ou économique, on accuse toujours son voisin et jamais soi. Et pourtant, il faut toujours commencer par le début, et la solution est toujours chez soi dans 95% des cas.

L’État, le gouvernement plutôt, trouve plus facile d’accuser les autres, les citoyens, surtout quand il ne fait pas son boulot ! Ce qui est curieux, c’est qu’on juge très sévèrement les autres en se prenant pour des anges.

On a l’impression qu’appliquer les solutions, que ce soit en sanitaire ou en économie, c’est se heurter à une montagne. On préfère toujours faire des demi-mesures qui ne conduisent jamais au résultat.

Et je pense que si l’on doit accuser quelqu’un de ne pas protéger la vie d’autrui, c’est vraiment l’État, le gouvernement ; il n’est pas nécessaire d’aller chercher ailleurs car l’État, aujourd’hui connaît les causes et les solutions. Alors pourquoi et pour qui ?

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