Oui, aujourd’hui j’accuse nos dirigeants scientifiques et politiques de meurtres par intérêt.
C’est une véritable tuerie en bandes organisées.
Nous savons ce qu’il faut faire et nous nous contentons d’un vaccin hypothétique sans sécurité prouvée, sans connaître le pourcentage de réussite dans le temps et nous ne faisons rien de ce qui est, cependant, un don de la nature.
Le vaccin rapportera trop à tous.
Vous n’avez pas le droit de tuer une entreprise et ses dirigeants. Vous n’avez pas le droit de ne pas appliquer ce que j’appelle le réacteur social. Vous n’avez pas le droit de ne pas appliquer le réacteur sanitaire et encore moins le réacteur économique. Vous savez fort bien que ces trois réunis nous apporteront la solution, et sanitaire, et économique.
Oui, la préméditation doit être requise. Il y a trop d’intérêts en jeu à tous les niveaux, du plus haut de la chaîne, jusqu’au bas de la pyramide.
Arrêtez le carnage et, surtout ne me répliquez pas que tous les autres pays ne font pas mieux. Si c’est cela votre défense, alors vous conduirez votre troupeau à l’abime. Les autres font ce qu’ils veulent mais, nous, nous n’avons plus une minute à perdre.
Attendre que l’été arrive, c’est dans six mois, pour tuer la cause, est indigne de vous. Si l’année dernière, le soleil a tué les virus, on en a oublié les incubateurs.
Aujourd’hui, une désinfection générale s’impose. Comme l’installation d’ultraviolets dans tous les lieux frigorifiques où se développent les virus, entre 0 et 10°.
L’avenir nous dira que, même avec un vaccin, on n’aura pas tué le virus. mais on l’aura cultivé car il n’y a pas un seul vaccin qui tue un virus, il en soigne simplement les conséquences.
L’année dernière, tout est reparti quand le soleil est parti, dès la première vague de froid de l’automne.
Alors, accusés, levez-vous : la sanction sera lourde si vous n’appliquez pas ce que nous offre la nature pour tuer le virus.