Aucun plan de relance ne résoudra le problème de santé

Ce n’est pas l’argent qui est nécessaire.

C’est la volonté de mettre en place, non pas des solutions médicales mais les solutions techniques qui éradiqueront les causes qui engendrent les maladies. Le bon sens voudrait que l’on n’ait plus besoin des hôpitaux, sauf en cas d’accident, ce qui représenterait à peine 30% de l’activité actuelle de l’hôpital.

Oui,  il y aura même trop d’argent pour ce secteur, trop d’infirmières, trop de médecins, trop de chirurgiens.

N’est-ce pas là la vraie solution ? On considère aujourd’hui que l’hôpital doit produire. Il est vrai que ce n’est pas son rôle d’éviter la maladie. Mais, chaque maladie a sa cause et nous nous enrichirons en trouvant des causes et surtout en faisant le nécessaire pour les éradiquer.

Au-delà de l’enrichissement par la réduction des frais, c’est le bien-être de toute une population qui constituera un nouveau monde. On se pose tous la même question : peut-on arriver à une vie heureuse, en pleine forme et jusqu’à 150 ans, sans la moindre vieillesse ?

L’économie de notre pays sera alors bouleversée pour tous.

LES CAUSES – LE REFUS

Je suis étonné que détruire les causes posent un tel problème. Force est de constater que les chercheurs, les médecins et les causes ne font pas bon ménage comme si rendre heureux et en bonne santé dérangeait le système !

Evidemment, l’adage de dire qu’on a tout essayé est plus facile à exprimer que de trouver le graal des causes. Et il semble encore plus difficile d’appliquer les solutions que nous avons car on dérange un fonds de commerce. Oui, l’intérêt financier a dévoyé de leur chemin ceux qui devaient chercher et trouver.

C’est comme pour le chômage, il y a longtemps qu’on sait ce qu’il faut faire mais pour des raisons purement électoraliste on reporte la solution à plus tard.

Et peu importe la souffrance des chômeurs.

Pour le virus et pour les cancers, on connaît à présent les causes et les solutions et, au lieu de tout essayer, on les reporte avec des expédients peu honorables.

La pauvreté, il y en aura toujours, n’est-ce pas, mais la réduire de 50% est faisable. Les paroles sont souvent exprimées mais jamais appliquées.

Le réchauffement climatique ? On en connaît la cause et l’on reporte les solutions ad vitam aeternam.

Toujours pour des raisons financières ou politiques.

On attendra pour agir, pour les causes et pour les solutions, d’être sur le gril, mais pour beaucoup, ce sera trop tard, tant face au virus qu’au cancer.

Non, Messieurs, on n’a pas tout essayé et loin s’en faut. Et même quand on acceptera la cause faudra-t-il encore appliquer les solutions.

Nous vivons dans un système absurde où le bon sens et  l’évidence n’ont pas leur place et encore moins les talents qu’exprime notre jeunesse. Ils sont trop souvent mis au placard.

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