Un jour de soleil, c’est quinze jours de confinement en moins

Oui, un jour de soleil à 30 ou 35° de température, est plus efficace que tous les masques du monde réunis. Il est plus efficace que tous les médicaments utilisés. Il est plus efficace que tous les confinements.

La peur oblige aujourd’hui à prendre des précautions, peut-être exagérées. On a toujours du mal à rester sur le fléau de la balance et pourtant, c’est l’emblème de la justice. Il est toujours difficile de rester debout au milieu d’une planche sur un rouleau, c’est un travail d’équilibriste.

D’aucune protection, nous voilà passés à un maximum de protections : ou c’est trop tôt ou c’est trop tard, ou c’est bien ou c’est mal. Mais, toute notre vie, la vie en elle-même, n’est qu’une question d’équilibre. Il existe toujours la fameuse ligne verte qu’il ne faut pas franchir.

Le soleil va balayer les derniers assauts du Covid-19. C’est pourquoi, d’ailleurs, la Chine s’est débarrassée du virus avant nous, parce que là-bas l’été arrive trois mois plus tôt que chez nous.

Est-ce que la sagesse et l’évidence n’imposeraient pas de rétablir chez  soi le soleil avant l’été ? Ce serait peut-être le meilleur remède à tous nos maux. Il faudrait en tirer les conclusions faute de compensation médicale, faute de médicaments, faute de vaccin.

De toute façon, on n’a pas réussi à éradiquer la cause. Faisons simplement ce qui est nécessaire pour qu’elle disparaisse, et le soleil est maître à bord de la planète.

Est-ce si compliqué d’assurer chez soi, dans sa voiture, dans le métro, une simple température identique au soleil ? C’est pourtant bien simple, mais peut-être trop simple pour des esprits compliqués. Mieux encore : chauffer l’air, c’est bien, car il possède de l’oxygène, mais ajouter une dose d’oxygène supplémentaire dans tous ces lieux serait peut-être une très bonne chose.

Une fois de plus, c’est encore la déclaration de la communauté scientifique qui ne veut rien savoir parce qu’elle ne sait rien. Faire des essais cliniques quand la mort est à votre porte, ce n’est peut-être pas le bon moment. Il faut agir avec ce dont on dispose.

Le dictat de la communauté scientifique et de l’OMS montre à quel point ils ne sont pas à la hauteur par leur incompétence. Il en est de même pour les cancers et les grandes maladies. Parce que ce n’est pas eux qui ont découvert les raisons du cancer ou les causes du cancer, au lieu de venir en complément, ils préfèrent l’ignorer, provoquant ainsi, rien qu’en France, 720 morts et ce, tous les jours de l’année.

Ces organismes devraient être traduits devant la Cour Européenne de Justice pour crime contre l’humanité. Dire « je ne sais pas », ne suffit pas. S’ils ne sont pas capables de trouver, alors qu’ils acceptent que d’autres puissent trouver à leur place, même s’ils ne sont pas médecins.

Non, ils préfèrent bourrer les hommes de médicaments sans effet sur la maladie, mais avec de lourds effets secondaires

Il est vrai que d’éviter est préférable que d’avoir à soigner, cela n’entraîne ni confinement, ni souffrance corporelle.

Alors, de grâce, essayons au moins ce que je propose ainsi que d’autres médecins. Le bon sens commande d’éviter au lieu d’avoir à soigner. Il en est de même dans la vie de chaque jour, il est préférable d’éviter l’accident que d’en subir les conséquences.

Alors, quelles sont les solutions immédiates :

  1. dans le cas du virus, établir chez soi les effets du soleil et de sa température
  2. pour éviter les cancers, utiliser un régulateur de pression atmosphérique.

C’est le Graal que toute la population attend.

Essayons, au moins, ensemble, de sauver des vies.

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