Vivre avec, non. Faire avec, oui

Il est hors de question pour moi de « vivre avec » le virus. « Faire avec » ce dont on dispose, est la solution. Vivre avec, c’est la négation de notre liberté.

Faire avec les rayons ultraviolets, c’est tuer le virus, c’est tuer l’occupant avant qu’il ne franchisse le corps et n’emporte votre âme. Faire avec, en France et dans le monde entier, c’est éviter le totalitarisme des scientifiques, c’est éviter d’ajouter aux pauvres une nouvelle pauvreté. Ne pas protéger les Français manque de grandeur.

Non, on ne nous mettra pas à genoux. Nous utiliserons l’arme redoutable qui mettra fin aux virus. Cette arme, c’est l’ultraviolet tout simplement et gratuitement.

De la même manière nous mettrons fin à tous les cancers en régulant les pressions atmosphériques.

L’évidence finira bien par triompher.  Ne pas essayer est criminel.

En toute simplicité, ne pensez-vous pas que 100 000 morts suffisent ! Oui, il est difficile d’accepter que l’on se soit trompé de chemin mais, ne pas l’accepter est encore beaucoup plus grave.

AVEC OU CONTRE

On a choisi de vivre avec le virus et l’on a refusé le combat contre le virus par éradication.

 On a choisi la mort de 100 000 Français à qui on n’a même pas pu dire au revoir et que l’on n’a pas pu accompagner dignement pour le dernier voyage. Ce sont 100 000 Français et 10 millions d’êtres humains dans le monde, et combien demain ? Et pour rien.

C’est 1 000 milliards que cet échec a coûté à la France, et pour rien.

C’est 100 000 milliards dans le monde entier, pour rien.

C’est de la souffrance, par lâcheté, et comment nos militaires n’y ont-ils pas fait opposition au Conseil de Défense?  Il n’aurait même pas fallu autant d’argent pour en finir avec le réchauffement climatique.

Honte et déshonneur pour nos scientifiques qui savaient ce qu’il fallait faire depuis le début pour gagner la bataille. Non, ils ont choisi de vivre « avec », aujourd’hui et demain. Pourquoi ! Pour l’argent. Pourquoi les politiques les ont-ils suivis car eux-aussi savaient qu’il fallait engager le combat, un combat pour la victoire, pour la liberté, pour la vie.

Non, on a choisi la privation de liberté ou, tout simplement, la liberté de vivre.

On a refusé un combat qui aurait coûté moins d’un seul milliard, rien que pour la France, pour se protéger aujourd’hui et demain.

La collaboration, c’est la honte quand il y a d’autres solutions, simples,  naturelles, efficaces à 100%. Oui, ce sont les rayons ultraviolets du soleil, naturels ou artificiels. Comme c’est curieux, aujourd’hui devant l’échec du choix du vaccin, on attend plus que le soleil, par défaut, pour réparer l’irréparable.

Pourquoi a-t-on choisi la mort, la négation de tout, pourquoi, pourquoi ? Le choix de « vivre avec » nous rappelle de tristes souvenirs que l’on croyait anéantis. Nous venons de commettre le plus grand crime de l’humanité et l’on continue un choix dévastateur.

L’évidence arrivera, mais à quel prix ?

Politiques, scientifiques, exilez-vous le plus loin possible. Le problème est de savoir dans quel pays ! Il vous restera encore la Chine dont vous avez fait la fortune. Elle vous accueillera !

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