Va-t-on continuer à patauger ?

Va-t-on continuer à patauger en utilisant des armes, des médicaments du passé ? Va-t-on continuer à réduire notre peuple à la misère avec des médicaments de plus en plus dangereux ?

Bien sûr, on pourra soigner les dégâts provoqués, à prix d’or.

Mais on continue à rêver l’inimaginable, le miracle. On espère voir arriver le soleil plus tôt que prévu et l’on dira que c’est la vaccination qui  est la raison de la réduction des contaminations.

Va-t-on arrêter de patauger ? Il n’est pas un homme sensé, un scientifique sensé, qui puisse affirmer que les vaccins supprimeront les virus. Ils répareront peut-être les dégâts provoqués mais n’éradiqueront pas le virus que l’on traînera comme un boulet, empêchant de nous faire vivre normalement.

J’ai entendu l’ancien Directeur de la Santé en France, confirmer ce que je vous dis.

Seule l’éradication de la cause du mal pourra remettre la France et le monde entier dans l’action.

Et, aujourd’hui, on conduit le  monde au désespoir…

Toutefois, s’il y a quelqu’un d’autre qui puisse trouver une autre solution que celle que je demande d’appliquer, j’en serai heureux : en tous cas, les ultraviolets ont fait leur preuve, depuis des millénaires.

Comme toujours, on se croit plus fort que la nature ou, tout du moins, on essaie d’utiliser la nature avec ses défauts, pour faire de l’argent. Il  n’y a aucune sincérité de la part des laboratoires. Le malheur, c’est qu’ils entraînent avec eux les politiques, le Président et le gouvernement, par de bonnes paroles et par un prétendu savoir, qu’ils n’ont pas.

On n’a pas encore compris que le virus est intelligent : c’est un être vivant qui, lui aussi, se protège quand il est malmené par le soleil. Comme énormément d’insectes qui, au moment de l’hiver, s’enfoncent dans la terre, le virus s’enfonce dans le froid. Il sait fort bien se protéger, comme tous les animaux.

Alors, il faut partir en chasse et en guerre, avec les moyens dont nous disposons car vous ne m’empêcherez pas de penser que seule l’éradication est la solution.

S’enferrer dans une politique qui ne mène nulle part, dans une stratégie dérisoire, ne peut être, en aucun cas, celle du Président

Il doit mener la France à la victoire, face au virus.

Oui, Monsieur le président, c’est un corps-à-corps qu’il va falloir mener, un corps-à-corps que les spéculateurs ne veulent jamais mener. Ils ne sont là que pour prendre de l’argent.

Vous ne pouvez pas, Monsieur le Président, entrer dans le jeu des gens qui ont échoué lamentablement. Et s’ils continuent à sévir, à raison de 300 morts par jour, rien que pour la COVID-19. Et j’aurai aussi la même pensée pour ceux qui vont mourir d’un cancer.

Quand j’ai proposé la solution à un ensemble de médecins et de chercheurs, ils m’ont tous dit la même chose : on n’y avait pas pensé. Alors, aujourd’hui, ils sont au pied du mur ; ils ne peuvent plus dire : je ne sais pas.

C’est à vous, Monsieur le Président, de leur imposer l’action, même si elle n’est pas très médicale et peut-être davantage mécanique.

Il est impensable que l’on continue à patauger dans un magma épouvantable alors qu’on connaît la solution.  Et vous, Monsieur le Président,

Santé

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