Un président de la république, c’est d’abord

Un Président de la République, c’est d’abord un homme, ou une femme, indépendant, qui ne sera pas que l’homme d’un parti. Mais un homme qui rassemblera tous les Français qui lui permettront d’appliquer son programme.

Les Français donneront à cet homme ou à cette femme l’autorité nécessaire pour agir par ordonnances.

Tant les solutions actuelles l’imposent, dans la forme et dans la révolution nécessaire pour redonner à la France sa place dans le monde.

Pour ce faire, il devra franchir des montagnes, non seulement les montagnes naturelles mais aussi les montagnes artificielles. Ces montagnes peuvent être françaises mais aussi européennes, voire internationales. Ce personnage ne doit avoir qu’une idée : franchir ces montagnes.

Le passé peut servir mais il ne doit être qu’un outil. Le futur, c’est oser et prendre des risques, pour gagner. Le futur, ce ne sont pas les partis qui l’apporteront mais un homme indépendant, une indépendance qui permettra :

  1. d’utiliser ce qui existe
  2. d’utiliser les techniques, les inventions, qui passent outre les monopoles, voire les institutions, qui tuent la France.

L’Europe ne doit en aucun cas être un frein. Le Président de la République doit passer outre ces freins ; tous les autres pays suivront.

Il se devra de rallumer les lampions qui restent pour en refaire les projecteurs des lumières de notre pays.

Il devra franchir le précaire pour des résultats certains, efficaces, réalistes, naturels. Celui-ci ne devra plus subir. Mais faire en sorte que tout ce qui paraît impossible devienne l’évidence pour tous les Français, pour tous les Européens et pour le monde entier.

Nous disposons de tous ces esprits qui, aujourd’hui, émettent des idées, des découvertes, qui peuvent paraître invraisemblables. Mais ils permettront de rassembler autour d’un seul axe : la vie et d’être admirés par tous, ce qui entraînera l’autorité naturelle.

Prévoir mieux vivre, plus longtemps et en pleine forme ne sera que le complément du nécessaire pour aller visiter d’autres galaxies.

Le pouvoir d’achat est nécessaire pour entraîner la courroie motrice et cela est possible par une baisse massive des prix.

L’avenir, c’est aussi protéger la vie, et la nature nous en donne toutes les solutions. L’idéal n’est pas de soigner, l’idéal est d’éviter d’avoir à soigner.

Cet homme remettra l’évidence au centre de son action. Cet homme pourrait être Michel Barnier et l’équipe qu’il créera, sans tabou, dans l’intérêt d’une France indépendante.

Ce Président, cet homme, ne sera pas l’homme des fatwas ; il ne les subira pas. C’est notre civilisation qui en dépend.

Cet homme de rassemblement aura l’autorité naturelle  nécessaire pour rétablir notre sécurité, pour protéger notre vie, une vie en pleine forme et plus longue. Cet homme protégera et développera notre économie en étant une lumière.

PARTIS ET IDÉES

Ce n’est pas en rassemblant des partis moribonds mais en rassemblant les idées que la France pourra survivre. Elle l’a déjà prouvé.

La France est déchirée par les partis politiques. Elle en a assez des critiques et des destructions.

La France veut que l’on utilise toutes les bonnes idées constructives et naturelles qui existent à notre porte. Ceci en se levant tous les matins. Il suffit de se baisser pour les ramasser. Qu’elles proviennent du ciel ou du sol, de l’est ou de l’ouest, de la mer ou des terres australes avec, à chaque fois, la nécessité d’éradiquer ce qui est dangereux pour l’homme et de réguler tout ce qui peut le détruire.

Oui, l’homme qui va nous aider à mieux vivre ne peut être qu’un homme de rassemblement indépendant. Un homme d’idées ou un homme qui saura rassembler les idées. Il aura le courage de mettre ces idées et ces solutions ainsi que les éradications, en chantier.

Oui la France survivra par des idées de génies qui illumineront notre avenir.

Un futur qui, pour y parvenir, utilisera le bon sens et l’évidence qui en découlera.

Oui, je pense vraiment qu’il n’y a qu’un vrai gaulliste, avec un concept gaulliste, qui puisse apporter à la France l’indépendance, la liberté, le mieux vivre, à partir de ce qui existe, faut-il encore le vouloir.

Il n’y aura qu’un gaulliste qui sera capable d’imposer le serment d’Hippocrate. Il n’y a qu’un gaulliste qui puisse éviter l’aveuglement et la soumission.

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