Les riches ne représentent, en valeur réelle, qu’une petite partie de la dette des 3 100 milliards de la dette de la France.
C’est par le travail des riches comme des autres, que l’on parviendra à accroître notre PIB.
La première économie est celle de la santé. Il n’y a pas de bonne économie sans une bonne santé. On dit souvent : le travail, c’est la santé. Moi, je vous dis qu’il n’y aura pas de travail sans une bonne santé. L’un et l’autre contribuent à ce que l’on soit concurrentiel.
Détruire ce que tous les Français souhaitent : c’est-à-dire de devenir riches, est une aberration.
La maladie, l’absence au travail, une dextérité affaiblie, doivent être évités et non soignés et ce, d’une manière si simple que l’on se demande pourquoi on n’y a pas pensé plus tôt.
Taxer les riches, taxer le travail, taxer les classes moyennes, ne sont que des emplâtres sur une jambe de bois. N’est-il pas préférable de donner à tous la santé, pour devenir riches ou presque ?
Ce que je propose est réalisable et réalisé. A nous de l’utiliser pour que la France devienne plus riche.
A présent, il va falloir vaincre l’incrédulité de beaucoup qui veulent protéger leur fonds de commerce sans s’inquiéter de l’intérêt général.
La coupe déborde
La coupe ne déborde jamais pour une vie en pleine forme, heureuse et beaucoup plus longue.
Pulvériser au moins dix grandes maladies qui ont, en fait, la même cause originelle, une cause qui peut être régulée par un simple mécanisme, c’est bouleverser notre futur, qu’il soit économique, sportif et social.
C’est notre vie économique, sociale, financière qui va prendre un nouvel envol. Moins de naissances, peut-être, mais pour une vie plus longue et en pleine capacité.
C’est aussi tout un capital sportif qui va être protégé. C’est aussi un immense capital intellectuel qui va pouvoir se développer.
Tous ceux qui vont me critiquer n’apportent, depuis 100 ans, aucune solution concrète et ne peuvent démentir ma découverte sans être dans le mensonge, dans la jalousie et dans la crainte qu’on leur reproche de ne pas y avoir pensé.
