Nous voilà de retour dans les années 1950. Nous ne produisons pas assez pour avoir une administration coûteuse, sécuritaire et sanitaire.
Les gouvernements successifs ont plongé dans la dette. Nos dirigeants n’ont pas cherché à produire plus, ni à vendre plus, pour une productivité croissante.
On ne pourra y arriver qu’avec une solution de vie plus efficace, avec une plus grande dextérité. On travaillera beaucoup plus longtemps, en pleine forme, mais beaucoup moins chaque semaine.
Il nous faut redonner l’espérance, la confiance, et un travail sanctuarisé, sans charges sociales, mais financé par l’Etat, c’est-à-dire par tous ceux qui en profitent à hauteur de leurs moyens. C’est la CSG inventée par Michet Rocard.
La dette est la fin de nos libertés et de notre indépendance. On va, une fois de plus, non pas ajouter des taxes, mais les doubler.
Aujourd’hui, nous savons ce qu’il faut faire pour sortir de ce piège et nous n’en avons pas le choix. C’est de vivre plus longtemps, en pleine forme, c’est produire plus longtemps en pleine forme, c’est avoir une vie plus sociale et plus agréable plus longtemps.
Profitons de la chance qui nous est donnée, avec Hygée, le régulateur qui pratiquement, pour une poignée de cerises, rétablira nos comptes, sans catastrophes.
La guerre en Ukraine va sauver
Il est quelque peu honteux pour tous les pays qui fournissent armes et munitions à l’Ukraine, de chercher ainsi à sauver leur PIB.
La guerre en Ukraine coûtera plus de 3 000 milliards. Il n’en faut pas plus pour accroître notre PIB.
Cette guerre, comme toujours, fera apparaître de nouveaux produits, de nouvelles techniques. Il faudra savoir les utiliser à bon escient. C’est comme les voyages dans l’espace : ils coûtent cher mais rapportent gros.
Nous sommes rentrés dans la mondialisation. Essayons au moins de faire ce qu’il faut pour devenir compétitifs ; l’Ukraine en profitera aussi.
Mais n’attendons pas la fin de cette guerre pour prévoir un futur.
Tel que la guerre se présente aujourd’hui, on est à peu près sûr d’endosser une guerre mondiale, et nous n’y sommes pas prêts. Guerre en Ukraine guerre à Taïwan, guerre en Afrique : mais où va-t-on ?
On sera bien obligé de trouver des solutions adaptées à ce nouveau monde. Des millions d’hommes et de femmes vont périr dans ces guerres.
Il faut, dès à présent, retrouver un nouveau souffle pour une nouvelle vie avec de nouvelles techniques de vie. Nous aurons besoin d’un travail immense qui ne peut pas s’envisager dans les conditions actuelles.
La guerre en Ukraine et dans tous les autres pays en appelle à notre responsabilité. Nous avons déjà connu cela en 1945 où tout avait été dévasté.
Va-t-il falloir renouveler la situation de 1945 ou envisager une nouvelle manière de vivre ?