Rien qu’en France pour la COVID-19, il faudra 500 millions de source d’ultraviolets, en lampes ou en tubes, soit entre 15 et 20 milliards d’euros.
Et la consommation énergétique sera de l’ordre de 10 à 15 millions de KW.
Le coût total sera donc 100 fois inférieur aux tentatives de recherche contre le virus et aux conséquences sociales et économiques qu’a causées ce virus. Il en sera de même pour la grippe, sans compter ce que coûte aujourd’hui le cancer qui n’est pas saisonnier et qui dure depuis des siècles. Et pour tout cela, je ne compte pas la souffrance des familles et des malades qui en supportent les conséquences.
Je rappelle tout de même au passage que les rayons ultraviolets servent à combattre tous les virus.
Quant à la régulation des pressions atmosphériques, elle est le seul moyen pour mettre fin aux cancers mais aussi aux maladies d’Alzheimer et de Parkinson, sans oublier non plus toutes les maladies cardio-vasculaires qui en découlent.
J’estime que cela est d’une gravité exceptionnelle car je ne peux pas croire que ce que j’ai découvert n’aurait pas pu l‘être avant.
Au-delà du coût je voudrais simplement préciser qu’éviter toutes ces maladies permettra d’accroître notre productivité de 15 %.
Monsieur le Président de la République, vous avez parlé de guerre, vous avez dit que la vie n’a pas de prix mais qu’avez-vous fait pour éviter toutes ces maladies ? Vous savez que les scientifiques ne vous apporteront rien. Ecoutez simplement la raison de la nature.
Mais là-encore, la vérité risque de mettre un certain temps avant d’arriver à l’évidence. On pourrait peut-être éviter que cela dure des années et de prendre alors en considération ce qui paraît peut-être aujourd’hui risible mais qui, de toute manière, deviendra l’évidence.
J’ai cru apprendre que dans certains hôpitaux, on utilisait à présent les rayons ultraviolets. J’ose espérer que ce n’est pas seulement à l’hôpital qu’on les utilisera mais partout afin d’éviter les virus. Le bon sens va prendre le dessus sans avoir obligatoirement fait les essais cliniques habituels.
J’ai peut-être le défaut d’être visionnaire, si cela est un défaut… Il me faut convaincre et agir. Il en sera de même pour notre économie où, contraint et forcé, il faudra changer le financement de la Sécurité Sociale.
C’est très bien, Monsieur le Président, c’est bien d’accorder un congé maternité de près d’un mois pour les pères. Vous n’êtes pas sans savoir le coût que cela va engendrer et la répercussion que cela va avoir sur notre productivité. Ce n’est pas monstrueux mais où les charges pèsent lourdement sur nos exportations, il faudra peut-être aussi, faire en sorte au bout de la chaîne, que ce soit l’Etat qui paie et non le travail.