Quand on rentre à l’hôpital

Malgré l’énergie des infirmières et des soignants, telles des abeilles dans la ruche, si l’on n’a pas la COVID-19 en entrant à l’hôpital, on risque fort de l’avoir en sortant.

Aujourd’hui, à la suite des tests, on fait entrer à l’hôpital une multitude de cas qui n’ont rien à y faire. Déjà, quand on rentre dans l’hôpital, on a une chance, sur dix ou sur cent, de ramasser une maladie nosocomiale dont on sortira avec de lourdes séquelles.  Il faut se rappeler quand-même que les maladies nosocomiales tuent quelques milliers de patients chaque année.

L’hôpital, oui, y vivre ou y passer dans le cas d’une nécessité absolue mais certainement pas dans une éventualité. Les Français l’ont parfaitement compris. Aujourd’hui, ils évitent l’hôpital et ce dernier ne se remplit plus qu’avec d’éventuels cas de COVID.

Les colonnes de gens que l’on voit aujourd’hui attendre devant l’hôpital, quand on sait que le virus peut se déplacer dans l’atmosphère, est probablement une cause de contamination, une contamination avant d’être testé. On pourrait au moins attendre d’être testé que l’on ait une apparition de symptômes de la maladie.

On nous dit qu’il y a aujourd’hui quelques milliers de patients en réanimation. C’est vrai mais n’est-on pas allé les chercher ? Je ne suis pas certain que ce soit la bonne méthode.

Le médical, après s’être trompé sur la méthode de réanimation par de l’oxygène traditionnel, va aujourd’hui chercher des cas en parlant de foyers infectieux. Mais ces foyers, comportent-ils plusieurs personnes ? Faut-il arrêter toute l’économie pour ce faire ? Je pense qu’en agissant ainsi on aura plus de morts par la pauvreté qu’on engendre, que par la COVID.

Déjà la peur est une maladie qui affaiblit certainement le corps et attendre des jours et des jours pour avoir un résultat risque fort d’accélérer la maladie.

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