Natalité, durée de vie

La natalité s’écroule dans le monde entier ; la France est aujourd’hui à 1,8 % de natalité annuelle.

A défaut de natalité, essayons d’accroître le durée de vie qui pourrait aller jusqu’à 180 ans, en pleine forme, et nettement moins coûteuse que la multiplication des naissances.

On a compris que, dans une période de difficulté, il fallait se servir de ce que l’on avait, tant pour le matériel que pour notre propre vie.

Je pense qu’on pourrait faire la même chose pour les enfants.

Avant de multiplier les naissances, rendons à tous ceux qui vivent, une durée de vie plus longue et en pleine forme.

Les enfants, pendant les vingt premières années de leur existence, ne sont pas productifs.

Et si, au lieu de travailler au moins 40 ans dans notre vie, on parvenait à travailler 80 ans, voire davantage, on aurait un résultat économique bien supérieur à celui que l’on a aujourd’hui.

  • «Michel Leclerc, vous êtes un fou ! ».

Vous allez me dire que cela n’est pas possible , et moi je vous réponds :

  • « non seulement c’est possible, mais tout de suite, en régulant les constantes qui sont le fondement de notre existence ».

La solution est simple :

  • dans notre chambre à coucher, nous avons déjà un radiateur, voire un climatiseur afin de  maintenir une température constante.

Je propose simplement d’y ajouter un régulateur de pression atmosphérique afin de maintenir cette pression constante, sur la base de 1013 millibars au niveau de la mer.

C’est une constante qui maintiendra notre équilibre vital et qui permettra à tous nos organes producteurs de continuer à agir.

Les variations de pressions atmosphériques bloquent le fonctionnement de nos organes par manque d’oxygène ; c’est  valable pour toutes nos cellules qui, privées d’oxygène, meurent sous 24 heures.

C’est valable pour la production d’insuline qui, par défaut, conduit au diabète.

Il en est de même pour la production du liquide synovial qui, par défaut, conduit à l’arthrose.

Et il existe une quantité de conséquences, y compris les cancers et ainsi de suite,

La simple régulation des pressions atmosphériques, pendant quelques heures par jour, permettra de rétablir la circulation du sang dans tous nos organes.

Il n’y aura plus de rupture d’approvisionnement en oxygène.

Les plus incrédules me diront :

  • nous ne voulons pas vivre dans la vieillesse.

Mais la vieillesse fait partie, justement, des conséquences des ruptures d’oxygène dans nos cellules.

Plus du tout de grandes maladies, plus de vieillesse et c’est un autre monde qui s’offre à nous.

C’est aussi une solution pour compenser le défaut de natalité.

 

La France, un puzzle industriel

La France a détruit son industrie sous prétexte d’acheter moins cher ailleurs.

Et on s’aperçoit aujourd’hui que détruire notre industrie nous a conduits à la dépendance.

Il est toujours difficile d’imposer à toutes les nations la même façon de vivre.

Mais les conséquences sont lourdes :

  • plus de production et simplement un assemblage, et nous perdons 50% de plus-value pour notre économie et pour l’Etat.

Cette dépendance risque de nous coûter très cher, y compris dans le sanitaire.

Pour compenser ses pertes, l’Etat a cru utile de taxer l’énergie dont il est le seul producteur, par le nucléaire.

Demain, les pays dits à bas coût voudront aussi avoir le même social que les pays occidentaux.

Quelle en sera la conséquence ?

Les prix de fabrication dans ces pays deviendront identiques aux nôtres mais nous, nous aurons détruit  notre système de production et il sera très difficile de le réactiver sans avoir de très grandes découvertes qui permettraient de rétablir notre industrie.

Les sources d’énergie vont être bouleversées ; la France n’a pas su profiter de son avantage.

Le résultat c’est qu’elle s’est endettée de manière considérable.

Ce n’est pas l’énergie qu’il faut taxer :

  • c’est à nous de trouver le moyen de produire moins cher, sans pour cela réduire notre social. La solution est de le rendre moins coûteux.

Soyons un plus visionnaires :

  • la solution est à nos côtés.

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