Madame Borne, « mère courage »

A l’analyse de votre discours à l’Assemblée Nationale, il en ressort :

  1. Beaucoup trop de promesses qui ne seront pas tenues

  2. Peu de nouveau pour donner aux Français l’envie de vivre en combattant les maladies (virus et cancers)

  3. Nationaliser l’EDF n’apportera rien si ce n’est que de nationaliser sa dette. Par contre, rien ne va dans le bon sens d’une production du KW bien moins cher par des mini centrales nucléaires (SMR), moins chères à la construction, peu dangereuses, peu exposées à des attaques de l’étranger. Rien n’a été annoncé sur la situation monopolistique de la commercialisation de l’énergie qu’il faudra combattre en donnant à tous les industriels la possibilité de produire l’énergie électrique nucléaire dont ils ont besoin.

  4. Le pouvoir d’achat, ce n’est pas seulement le salaire mais seulement ce que l’on peut acheter avec ce salaire : rien de nouveau non plus

  5. Aucune solution pérenne pour combattre l’inflation galopante

  6. Aucune mesure pérenne pour compenser les pertes dues à l’inflation, pour tous les épargnants

  7. Rien dans ce discours n’apparaît innovant

  8. Les Français attendaient beaucoup mieux pour leur avenir, pour leur école, pour leur santé

  9. L’aumône n’est pas le souhait des Français

  10. Mme Borne, vous ne donnez aucune grandeur au travail

  11. Madame Borne, vous ne donnez pas la raison aux enfants d’apprendre si ce n’est d’avoir des laissez-passer avec des diplômes dévalorisés

  12. Madame Borne : pour vous, la santé, l’énergie, le savoir, ne sont pas la clef du futur.

Un gouvernement qui aura beaucoup de mal

Nous voilà avec un gouvernement qui aura beaucoup de mal à faire ses preuves.

Les anciens ministres vont devoir reconnaître leurs erreurs, les nouveaux devront faire leurs preuves, et le temps presse.

L’inflation s’est attelée à des chevaux de course. La santé, faute de bon sens, continue à se dégrader ; l’homme s’affaiblit par la nécessité de reconstituer sans cesse de nouvelles cellules afin de compenser les dégâts provoqués par les dérives des pressions atmosphériques.

Quant aux morts, on n’aura plus de retraite à leur verser… Les solutions de demain sont celles d’un gouvernement trop attaché aux monopoles des laboratoires ou de l’énergie.

La plus grande des maladies est celle de l’incrédulité dévoreuse de solutions. Quand on a découvert la pénicilline, on a cru faire un bond colossal dans la médecine. C’était vrai pour soigner mais ce n’était pas la solution pour éviter les causes.

Et c’est pourtant par la régulation de la nature que l’on pourra gagner la bataille finale face à un virus, face aux désastres des cancers. Il faudra prendre d’autres solutions : pour qu’un serpent ne vous morde pas, il faut le saisir par la tête. Il en est de même pour les maladies : il faudra oser saisir la tête des causes pour les empêcher de mordre.

La pénicilline tue l’infection, la potion magique prétendue vaccin, n’est qu’un emplâtre. Il est vrai qu’il a fallu près de cinquante ans pour que l’on considère la pénicilline comme un médicament efficace pour soigner.

J’ose espérer qu’il ne faudra pas cent ans pour utiliser les mécanismes nécessaires pour mettre fin aux cancers et aux virus. On ne pourra pas dire que l’on ne savait pas. Je veux démentir, une fois pour toutes, l’argument habituel des médecins : le « je ne sais pas ».

Sauver la vie des Français, Madame la Première Ministre, et vous resterez dans l’histoire.

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