Le litre de carburant à 5€

Impossible : peut-être pas.

On paie nos importations en dollars. Hier, un dollar valait 1,22€. Aujourd’hui, un dollar égale un euro.

Le prix du baril de pétrole pourrait bien s’envoler à 150 dollars, voire à 200. Il va falloir mettre en route la planche à billets de l’euro. Que va-t-il rester à tous ceux qui ont épargné pour compléter leur retraite et que pourra-t-on acheter avec sa retraite ?

On commence à s’inquiéter pour le gaz ; ce n’est que pour créer la peur car du gaz, on aura autant qu’on voudra, ne serait-ce que du Qatar.

En conclusion :

1) Il faut accélérer la construction des voitures à hydrogène
2) Il faut réduire au maximum l’achat de produits importés qui porte préjudice à notre balance commerciale
3) Il faut transférer mécaniquement toutes les charges sociales et patronales, et probablement en nationalisant les mutuelles
4) Il en découlera une baisse de tous les prix et de tous les services de 15 à 30%, selon les produits et les services
5) Les prix doivent baisser, au centime d’euro près,à concurrence de 80% du profit qui aura été fait par la baisse des charges
6) Il faut, en urgence, installer 1 000 mini centralesnucléaires dans toute la France, ce qui entraînera la fin des pertes de charges en lignes et en transformateurs.

Acheter moins cher est plus efficace qu’une augmentation de salaire ; c’est donner au travail sa vraie valeur.

La bourse

En janvier 2022, la bourse était à 6 800 points, en juillet 2022, elle est à 5 800 points, en décembre 2022, elle sera à 4 800 points et en juillet 2023, elle sera à 3 800 points.

L’euro a perdu 20% de sa valeur face au dollar et en décembre 2022, il aura perdu 30%.

L’inflation : en janvier 2022, on était à 4,80%. En juillet 2022, on est à 8%. En décembre 2022, on sera à 12% et en juillet 2023, on sera à 20%.

Il y a de quoi s’inquiéter mais pas de s’affoler. Les causes doivent toutes apporter des solutions. Il doit en être de même pour le pouvoir d’achat.

Le gouvernement refuse de voir l’évidence et prend des mesurettes pour compenser l’inflation pour les plus démunis. Aujourd’hui, rien n’est fait pour une solution pérenne. La réduction des charges a du mal à sortir d’outre-tombe. Il est certain que le COVID, le cancer, ne faciliteront pas les choses. Faudra-t-il attendre d’être au bord du gouffre pour que les politiques commencent à réagir ?

Et tout passera inévitablement par l’éradication des causes et non en compensant les causes.

Faire des chèques de 100€, c’est accroître d’autant notre dette qui, avec des taux d’intérêts qui atteindront 4% d’ici la fin de l’année, deviendra un poids lourd de notre économie.

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