L’Europe de Monsieur Poutine

L’arrivée de Madame Pécresse au pouvoir sera certainement l’occasion de rapprocher la Russie de l’Europe car la Russie a vocation à être dans l’Europe.

L’atout de Madame Pécresse est de parler le russe comme elle parle le japonais. Parler la langue d’un pays permet des relations spéciales, non seulement pour les dirigeants mais aussi pour les peuples qui sont fiers qu’on parle leur langue.

Madame Pécresse n’est pas encore Présidente de la république mais elle a tout pour donner l’envie aux Français qu’elle le soit.

Autoritaire ? Non autorité simplement. C’est une femme de courage, de travail acharné mais aussi de cœur.

Elle n’oubliera jamais les sans-rien et ne jettera jamais à la face des Français « les emmerdeurs » qui ont fait roi le Président actuel.

Dire que Madame Pécresse sera la Présidente des riches est un mensonge éhonté. Elle est peut-être celle qui évitera la guerre avec la Russie.

Si notre Président a perdu la baraqua, elle, elle a la chance. Si Monsieur Macron a perdu la chance en cours de route, Madame Pécresse l’a trouvée.

Les sangliers et le virus

Les sangliers qui labourent les terres ensemencées, le virus qui dévore les corps humains, l’un et l’autre ne s’arrêteront que le jour où on les aura éradiqués.

On n’a pas le choix.

Aujourd’hui, on protège les sangliers et on les trouvera bientôt sur la place de la  Concorde. Aujourd’hui, rien n’est fait pour tuer les virus et on ose nous dire que le vaccin limite les cas ! Ils étaient 50 000 par jour, il y a de cela plus d’un an, ils sont 500 000 aujourd’hui. Et pendant tout l’hiver, ils vont se multiplier et produire des enfants que l’on appellera variants. Et tout ce qu’on nous propose, c’est de « vivre avec ».

Si les sangliers sont protégés, ce sont les écologistes qui doivent en assumer le résultat.

Pour les virus, ce sont les laboratoires, les Conseils Scientifiques, qui en sont la cause, préférant la spéculation à l’éradication. Le monde médical  n’aura jamais autant gagné d’argent.

Et l’on prépare déjà l’attaque des virus de demain plutôt que de les détruire. On n’a pas pris le bon sens,  on refuse l’évidence. L’homme est là pour réguler les effets néfastes de la nature : arrêtons d’épiloguer, agissons. C’est notre devoir, il est temps de griller le virus par les murs de feu que nous possédons tous.

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.