J’ai déjà expliqué que la protection était nécessaire dès la naissance pour ne pas perdre notre énergie, une énergie qui est absorbée progressivement et dès les premiers jours par les variations des pressions atmosphériques.
Quelles seront les incidences sur nos enfants, sur la société, sur notre économie ?
En conservant la totalité de leur énergie et de leur cerveau, tels qu’ils sont à la naissance, je ne serais pas étonné que, dans quelques années, on parle d’âge légal non plus à 16 ans mais à 14 ans.
Je ne serais pas étonné que l’âge légal de l’école soit ramené à 14 ans.
Je ne serais pas étonné que dans leurs premières années de travail, les jeunes ne soient plus considérés comme des apprentis mais comme des salariés classiques.
Je ne serais pas étonné qu’il y ait un niveau professionnel plus fort, plus dynamique, plus proche des réalités et des évolutions rapides de l’industrie et du monde du travail en général.
Je ne serais pas étonné de voir nos enfants arriver plus jeunes dans l’entreprise.
Je ne serais pas étonné de voir la durée du travail ramenée à 32 h par semaine pour un même travail. Ce sera le fruit d’une meilleure condition physique et intellectuelle.
Je ne serais pas étonné que l’on doive prendre la retraite à 75 ans en pleine forme et dans un monde sans grandes maladies, sans cancers, sans Alzheimer, sans Parkinson.
Je ne serais pas étonné que, dans le monde du travail, on consacre deux à trois jours par mois à se former, on aidera les jeunes de l’entreprise à démarrer plus vite par une pratique plus évoluée techniquement et intellectuellement.
Notre énergie physique sera quasiment la même toute notre vie durant. Ce sera un immense plus pour tous mais aussi pour notre économie.
Le système politique ne sera plus un système autoritaire mais il sera collectif, plus proche du peuple et de ses nécessités sans tomber dans le communautarisme. Les religions auront évolué et les guerres de religions seront du passé.
Le peuple sera heureux de vivre, heureux de travailler, heureux d’avoir des enfants d’autant plus que la fécondité de la femme passera de 45 à 65 ans.
Certes, on vivra plus longtemps, la société aura un autre visage, la vieillesse ne sera plus la même et n’apparaîtra plus visiblement.
Il n’y aura qu’un jour où le cœur se fatiguera, comme tout moteur, il s’arrêtera, sans souffrance et sans à-coup.
Les pauvres ne seront plus si pauvres et les riches seront plus riches. Ce n’est pas un critère qui devra troubler la société et nous n’aurons plus de raison d’être pauvres.
Bref, un nouveau monde sera né et pour longtemps.