La cardiologie est avant tout une affaire de sang

A part en  cas de malformation, le cœur est soumis :

  1. à l’activité de la circulation du sang
  2. à un système nerveux qui peut fatiguer le muscle du cœur.

Il y a peu de maladies cardiaques qui ne puissent être évitées. Mais souvent, elles sont provoquées par des agents extérieurs au corps, soit par des excès physiques, soit par des abus dans les fonctions excessives du travail, du sport, du jeu et du plaisir.

Le cœur est chargé d’assurer la distribution du sang. Faut-il encore que ce sang soit suffisamment fluide, pour ne pas engorger la pompe. Trop souvent, les pressions  extérieures provoquent la fermeture des tuyauteries. Trop souvent, le cœur est mis à rude épreuve par un sang chargé de cellules mortes par les pressions extérieures qui les ont privées d’oxygène.

En fait, les cancers que l’on veut bien déceler, ne sont que des barrières pour le cœur. Des barrières qui ne parvient plus à faire circuler le sang nécessaire à notre vie.

Quant au système nerveux du muscle cardiaque, ce sont trop souvent les excès que nous commettons, volontairement ou pas, qu’il faudra maîtriser ; ce n’est dépendant que de notre volonté.

C’est peut-être trop simple, ce que je décris, mais c’est tellement proche de la vérité qu’on peut l’admettre. Pour toutes ces causes, nous avons les solutions. Notre corps est une machine bien huilée ; on oublie souvent de l’entretenir, on oublie souvent de se protéger des éléments extérieurs qui apparaissent d’une manière totalement invisible.

Si les cancers sont la conséquence de ces mêmes causes, le cœur se doit d’être protéger de la même manière. C’est-à-dire en régulant les pressions atmosphériques qui l’empêchent de battre à son rythme.

VIVRE A PRESSION CONSTANTE

Les éléments atmosphériques sont la cause des cancers et des grands maladies, y compris cardiaques et cérébrales.

Le corps humain a horreur des variations, que ce soit celle de la température interne au corps, que ce soit celle de la tension, que ce soit de l’oxygénation du sang, que ce soit en variation du nombre de leucocytes, etc.

Dès qu’un de ces éléments varie, on se trouve en position de faiblesse. L’oxygénation du sang est capitale pour la vie des cellules de notre corps. Un manque d’oxygène de 24 heures, et des millions de cellules vont mourir.

Notre corps est conçu pour vivre à une pression atmosphérique de 1013 millibars, celle du niveau de la mer. Une variation de cette pression à 1045 millibars est telle que notre corps, qui y est soumis, ne permet plus la circulation normale du sang dans les micro vaisseaux, et il y en a 40 000 km.

Plus d’oxygène, qui est le carburant des cellules, et c’est l’hécatombe. Et que va-t-il se passer ? Ces cellules mortes vont circuler dans le sang dès que les pressions seront rétablies à la normale. Tout pourra repartir normalement à l’exception près que ces cellules mortes devront, soit être absorbées par les leucocytes, soit être filtrées par les organes filtreurs.

L’épaisseur du sang pendant cette période, va terriblement fatiguer le cœur ; ce n’est plus une pompe à eau, c’est une pompe à eaux usées et nous en connaissons les conséquences : le cœur est maltraité, les organes filtreurs vont faire leur travail et placer ces cellules dans ce que l’on appellera plus tard, des nodules. Bien sûr, ils seront microscopiques au début mais, au bout de quelques années, ils pourront s’avérer dangereux.

Alors, que faut-il faire ? Comme pour toute chose, il faut commencer par le début. Il va falloir réguler les pressions atmosphériques qui auront dépassé, et de loin, les possibilités de notre organisme.

Alors, vous me direz qu’elles sont insignifiantes, ces variations atmosphériques, peut-être, mais de la même manière que la température intérieure de notre corps qui, quand elle varie de un à deux degrés, nous pose de sérieux problèmes. Il en est de même pour l’écart de tension et de même pour le taux d’oxygénation du sang.

Ces variations que l’on dit minimes, à 1040 millibars, représentent un poids de deux tonnes sur notre corps.

Il est très bien de découvrir de multiples médicaments pour essayer de réparer les conséquences de ces variations mais ne serait-il pas plus judicieux de réguler simplement, pendant quelques heures par jour, cette pression excessive qui ne revient qu’une vingtaine de fois, chaque année ? Pourquoi seulement quelques heures par jour ? Simplement pour faire respirer nos cellules avec l’oxygène du sang qui ne leur parvient plus.

Le corps humain est si bien fait que les cellules peuvent endurer cet effort pendant quelques heures, voire 24 heures. Mais, au-delà, rien n’est plus possible.

Nous avons tous trouvé normal de réguler la température extérieure, pour vivre plus aisément. Il en est de même pour les pressions atmosphériques : il faut les réguler à 1013 millibars.

Nous ne pouvons vivre comme il se doit qu’à pression constante.  Au-delà, dans un sens comme dans l’autre, on organise notre mort.

A cela s’ajoute un événement surprise : c’est la fatigue. Plus le sang est chargé de petits cadavres, plus la fatigue apparaît. Mieux vivre, sans fatigue, en évitant les grandes maladies nous permettra d’être plus actifs, plus compétitifs, sans pour cela engendrer la moindre fatigue supplémentaire.

Ce que je propose est d’une simplicité exemplaire : on ne touche pas au corps, on évite que l’assaillant n’agisse pour nous détruire.

Peut-être que ce que je propose comporte quelques exigences, mais si l’on ne veut pas détruire notre système immunitaire, il faut apprendre à vivre sans ces variations qui nous accablent et ce, dès la naissance. Nous pourrons alors arriver à 100 ans avec la totalité de nos défenses immunitaires, une défense qui nous est bien nécessaire actuellement face à un virus que l’on se refuse à éradiquer.

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