Les médias de la révolte, les médias de l’avenir

Mais qu’apportent ces médias au peuple ? Trop souvent, les médias amplifient les événements du présent. C’est un peu leur rôle d’alerter.

Les médias n’anticipent que très peu ; il est vrai qu’il est plus difficile d’amplifier le bien que le mal. Il est plus facile de conter les faits du jour ou du passé. Toute nouveauté sera mise sous le boisseau en attendant le jour où le soleil se lèvera avec un éclat nouveau.

Mais que faire sans les médias, sans les réseaux sociaux qui sont libres et gratuits ? Il serait dommage que les grands médias soient à la remorque des réseaux sociaux et pourtant, sans argent, il ne reste que ces réseaux pour exprimer des découvertes, des actions spectaculaires.

L’incrédulité a pris le pas sur la crédulité.  Le plus difficile est de faire croire sans un intérêt particulier ou personnel. Et oui, on en revient au bon temps, à l’habitude, à la fatalité ; on veut y croire que si vraiment il existe un intérêt immédiat.

Mais quand il s’agit de la vie et surtout de cette découverte, on n’entre pas dans les critères habituels et encore moins ceux du passé.

On a peur de bousculer la table ; on le demande aux autres. On a peur des conséquences surtout quand il s’agit de remettre en cause un système monopolistique qui n’existe que par l’argent : pour lui, la vie est secondaire sauf quand survient la mort.

Alors, on se raccroche aux branches des découvertes, du plus difficile au plus simple et on appelle Dieu à son secours. Alors, le ciel répond « aide-toi et le ciel t’aidera ».

Ce sera alors, un jour, l’apothéose des médias traditionnels, tout au moins on peut l’espérer.

L’invisible d’aujourd’hui est le concret de demain. Qu’on se le dise.

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