Les masques et le dépistage ne seraient-ils pas un mal plutôt qu’un bien ?
On prend toujours le même chemin mais l’Etat fait-il le nécessaire pour empêcher le virus d’arriver en France et même dans nos hôpitaux ? Car 40 % des malades actuellement hospitalisés sont des malades qui ont voulu être en France pour se faire soigner ; ce sont des étrangers.
Est-ce que l’Etat a fait le nécessaire dans les aéroports, petits et grands et dans les ports, petits et grands ? Il est vrai que des décisions commencent à être prises et elles sont appliquées.
Reste encore les problèmes des refuges du coronavirus : le froid. Plus de 500 000 personnes travaillent, tous les jours, dans des lieux réfrigérés à moins de 5 °. On les trouve dans les abattoirs, bien sûr, pour la découpe, dans les supermarchés pour la préparation à la vente des viandes, volailles et poissons. On les retrouve dans toutes les entreprises de pompes funèbres, dans toutes les morgues hospitalières. On les retrouve dans tous les entrepôts frigorifiques.
De plus, a-t-on seulement envisagé de mettre en place des couloirs sanitaires dans les halls des gares et des aéroports, dans les métros ? Rien n’a été fait à ce jour. Car, si pour moi, le coronavirus est mort, il peut toujours y avoir des snippers.
Nous ne sommes qu’à mi-août : il y aura encore des périodes de canicule avant la fin septembre. Nos enfants vont rentrer à l’école, et c’est bien ainsi. Mais demain, nous aurons la grippe. Alors, pourquoi ne pas s’y prendre tout de suite en installant aussi des couloirs sanitaires dans les écoles ?
Il faut apprendre aux enfants que le risque d’une maladie ou d’un virus est toujours possible. Il va falloir leur apprendre que le soleil est le meilleur des médicaments. Alors, quand ils font du sport, qu’ils le fassent au soleil.
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