La canicule a été une chance pour mettre fin à la COVID-19 mais ce ne sera pas suffisant si l’on ne fait pas le nécessaire là où le soleil ne parvient pas.
La mise en place de tubes et de lampes à ultraviolets s’impose là où il fait froid, là où le soleil ne pénètre pas. Je ne répéterai pas tous les lieux que j’ai déjà cités mais ils sont légion dans notre pays, entre autres.
Pourquoi imposer à toute la population d’empêcher de vivre, par des masques ou des dépistages de toute nature ? Laissons vivre les Français. N’importons pas systématiquement le virus.
Pour 500 000 personnes qui travaillent au froid, il ne faut pas paralyser 60 millions de Français ; notre économie n’y survivra pas et ce, malgré d’immenses promesses tout aussi valables les unes que les autres. Etre le bon samaritain à travers le monde, pourquoi pas ? Mais cette œuvre a ses limites. Aujourd’hui, le Liban est devenu une pierre dans notre jardin. Il s’agit d’une pierre blanche et on va tout faire pour sauver le Liban.
Mais peut-on faire quelque chose contre la volonté de son peuple, C’est le Général de gaulle qui l’avait parfaitement compris. Considérer le Liban comme un département français engendrera aussi plus d’un million de chômeurs supplémentaires. Aider les autres peut se concevoir si cela ne met pas en péril tout l’édifice.
La France est le pays des lumières, c’est tout au moins ce que l’on a dit mais, à la minute présente, cette lumière a faibli et la confiance à l’international a bien du mal à subsister.
La canicule a été certainement le meilleur remède. C’est facile pour moi de le dire car il n’y en pas d’autres. Tout ce que l’on fait en préventif risque d’entraîner d‘autres maux. C’est comme toujours : on a pris l’habitude que, pour se protéger, il fallait mettre un masque ; on a oublié d’éradiquer la cause.
Nous allons arriver à la reprise du travail dès le 1er septembre, il ne faut pas en avoir peur. Les événements ne se reproduisent jamais de la même manière et il n’y aura pas de deuxième vague de COVID-19 telle que nous la connaissons.
Les vaccins, hypothétiques pour l’instant, le dépistage, les masques, doivent disparaître. La peur n’évite pas le danger et dès le début de septembre, il faut prouver qu’on est capable de reprendre le travail car c’est par le travail qu’on pourra relever la France, par le bon sens, par l’innovation, par l’évidence.
Non, on ne vivra pas avec le coronavirus, ni avec d’autres virus, d’ailleurs. On les subit, mais vaut mieux les prévenir et prendre et faire le nécessaire pour qu’ils n’y soient plus.
La peur, c’est terrible. Elle détruit notre système immunitaire, elle détruit notre possibilité de combattre les virus. Ce n’est donc pas la solution. Nous dire que le virus repart, on a l’impression que c’est un rêve mais, heureusement, les rêves ne se réalisent que rarement.
Alors, il faut, dès le mois de septembre, redonner à la France, chacun un peu de soi, pour que l’on revienne dans le concert des Nations.