Les bêtes fauves et l’homme

Durant des millénaires, ce sont les bêtes sauvages qui ont dévoré l’homme ;

il aura fallu des millénaires pour que l’homme domestique la bête.

Toutefois, aujourd’hui encore, ce sont les bêtes et les forces invisibles tels que les virus ou les variations de pressions atmosphériques

qui s’attaquent à l’homme et le tuent à petit feu.

C’est l’aspect bête sauvage de la nature qui tue l’homme dans 99% des cas.

Mais la nature lui a donné un substitut pour s’en protéger en régulant ses effets néfastes.

En écrasant notre système de distribution du sang, la nature tue nos cellules par manque d’oxygène et de nourriture.

Nous n’avons pas besoin d’un fusil à deux coups pour nous protéger de ces effets néfastes ou de ces bêtes sauvages.

Le régulateur Hygée évitera la mort des cellules et, par ricochet, la disparition de notre système immunitaire.

Si les animaux ont le droit de vivre, l’homme doit se protéger de l’animal sauvage.

 

Rendons gloire à la nature

Rendons gloire à la nature qui nous prête la vie.

Neutralisons les effets néfastes d’une nature en folie qui veut nous reprendre la vie.

C’est le combat perpétuel entre le bien et le mal.

On ne peut être écologiste si on ne cherche pas à coupler les deux faces de la nature par le travail de l’intelligence de l’homme.

Jusqu’à ces jours-ci, on s’est contenté de glorifier la nature et l’on s’est rarement protégé du couperet qu’elle détient.

Le couperet, c’est la maladie, c’est la vieillesse, qui nous conduisent à une mort souvent dans la souffrance physique et morale.

Comme toujours, on s’est habitué à un cycle destructeur.

Je propose, grâce au génie de l’homme, un autre cycle, un autre concept pour tous,

dans l’intérêt général, en toute liberté.

Dieu ne nous a pas asservis, il nous a donné les moyens de vivre et de vivre encore plus longtemps en pleine forme.

Utilisons les moyens qui sont mis à notre disposition pour une évolution naturelle de l’existence de l’homme.

C’est un devoir de protéger notre vie contre les dérives de la nature,

tout aussi responsable du bien que du mal.

La femme met un enfant au  monde : ce n’est pas pour le voir mourir mais pour le protéger.

C’est cela la vraie évolution du monde de demain.

C’est le défi d’ « Hygée », le régulateur : on ne peut pas faire plus naturel que de se protéger des bêtes fauves ou des pressions atmosphériques.

Domestiquons-les.

 

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