L’élevage animal

Aujourd’hui, on abat des millions de volailles, des milliers de vaches et de cochons à cause des maladies qui l’imposent.

L’animal, tout comme l’homme, est doté d’un système immunitaire qui est mis à mal par défaut d’alimentation en oxygène de ses cellules. Ceci est dû aux variations de pressions atmosphériques ; on peut les réguler quand les animaux dorment, que ce soit dans les poulaillers, les étables ou les porcheries.

Il nous faut prendre les dispositions nécessaires pour que cela soit possible, du moins pendant quelques heures par jour. Tout ceci en raison des dérégulations des pressions atmosphériques qu’il nous faut ramener à leur constante.

Cerise sur le gâteau : ce sera la survie des bêtes et qui, en plus, apportera en qualité et en quantité.

Techniquement, tout ceci est possible, y compris dans les plus grandes surfaces d’élevage.

Je sais ce qu’on va me dire !

« L’étanchéité de ces locaux est impossible à mettre en place » ; c’est totalement faux.

Les régulateurs de pressions apporteront la fin des maladies et le bien-être animal.

Une fois de plus, c’est l’incrédulité qui retardera la mise en place de cette solution.

 

Le dérèglement climatique

Le dérèglement climatique provient uniquement de la violation des constantes naturelles.

En Bretagne, il y avait des talus et des haies autour des champs pour limiter l’effet des tempêtes sur les cultures.

C’était un moyen de réguler les constantes.

On les a tous détruits et, aujourd’hui, on a été obligé de replanter des haies.

A présent, le sud de l’Espagne est envahi par le désert et que dit-on ? :

« c’est naturel ». Et demain, ce sera le tour pour la France.

Que fait-on pour stopper les déserts ?

En Chine, ils ont replanté des centaines de milliers d’hectares pour faire reculer le désert. En Afrique, on a commencé à planter ce qu’on dénomme la Grande Muraille Verte. Mais ceci est trop peu.

Aujourd’hui, les déserts ont continué à progresser ; c‘est donc au cœur du désert qu’il faut se consacrer.

On me dit qu’il n’y a pas d’eau ; c’est faux. Sous le désert se trouvent les plus grandes nappes phréatiques du monde. Il suffit de les pomper et, pour cela, il faut créer l’énergie suffisante en y construisant de mini-centrales nucléaires au thorium.

Tout ceci a un coût … Ce n’est pas vrai. La rentabilité de ces investissements est déjà assurée.

Le désert, c’est comme la vermine : il faut utiliser les grands moyens car demain, il sera en France ou à Paris.

Et l‘on va me dire que l’eau que l’on va pomper est saumâtre. Rien de tout ceci n’est valable car aujourd’hui nous avons des équipements inventés par le Professeur Garnier-Mallet qui permettent de transformer cette eau saumâtre en eau potable. Pour ce faire, il utilise la théorie du dédoublement du temps.

Nous ne parviendrons pas à éviter le bouleversement des climats si l’on n’en prend pas les moyens. L’homme va vivre jusqu’à 150 ans et plus, la population mondiale va doubler en moins de 50 ans : il faut agir en conséquence.

Rappelons-nous, tout de même, que la vie de tout homme, mais aussi de tout l’univers, repose sur les constantes.

 

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