En respectant les constantes vitales de notre corps, on éviterait 50% des dépenses médicales et 50% des cotisations retraites, se mettant à l’abri des grandes maladies et s’assurant une plus grande durée de vie. Ceci concernerait les charges salariales et patronales.
Ce sera aussi l’ouverture à une compétitivité qui entraînera la possibilité d’exporter.
Enfin, notre productivité s’accroîtra et les jours d’absence pour cause de maladies et autres seront réduits.
Quasiment toutes les grandes maladies ont pour cause une rupture de circulation du sang au contact des cellules et de nos principaux organes producteurs d’insuline, de moelle osseuse, liquide synovial et autres.
Il sera alors inutile de réduire quelques remboursements que ce soit, de la part de la Sécurité Sociale.
Les entreprises, les salariés, les mutuelles, verront leurs charges se réduire rapidement.
Refusons la fatalité qui risque d’entraîner trop de mouvements sociaux.
Hygée le régulateur, c’est un mini investissement pour un gros rapport.
Il faut rappeler que toutes ces ruptures de circulation du sang ont pour cause les variations des pressions atmosphériques.
Ma solution permettra d’économiser 200 milliards ou, plus exactement, 100 milliards de moins de dépenses et 100 milliards de recettes en plus.
C’est un rêve, dira Monsieur Le Maire !
Je peux vous dire que le prototype de cet appareil est réalisé et sera bientôt distribué sur le marché. Chaque chose en son temps.
Mais pour aller plus vite, l’idéal serait que la fourniture de cet appareil et son installation soient pris en charge, au moins à 50%, par la Sécurité Sociale. Il ne s’agit pas d’une dépense mais d’un investissement qui rapportera très gros.
Et nous, la France
On s’occupe beaucoup de la Russie et de l’Ukraine, à juste titre d’ailleurs, mais ne serait-il pas sage de protéger nos frontières d’arrivée de missiles ?
Il ne s’agit pas de faire une ligne Maginot mais de placer, sur la totalité de nos frontières, une défense antiaérienne. Nous avons 4 000 km de frontières, 3 000 d’entre elles sont sur les mers et dans l’est de la France.
Cette défense aérienne devrait être capable d’intercepter tout missile en provenance de la Russie et de ses sous-marins.
Il ne suffit pas de se protéger uniquement sur la frontière est, les sous-marins peuvent se trouver dans l’Atlantique, dans la mer du Nord, en Méditerranée ou dans la Manche sachant qu’un radar peut détecter toute arrivée d’avion ou de missile à plus de 500 km à la ronde.
Il serait prudent d’avoir en permanence une dizaine d’avions de chasse dans l’espace aérien français. Nous disposons aussi de batteries antiaériennes performantes.
Plus de 2 000 militaires devront être à l’œuvre en permanence. Ce n’est pas le jour où un missile s’écrasera en France qu’il faudra réagir !
Nous avons pu constater qu’un missile a survolé la totalité du territoire ukrainien avant de s’écraser en Pologne.
A nous d’éviter ce genre de désagrément…
