La TVA sociale a été initiée par le Général de Gaulle et par mon frère Edouard Leclerc.
Cette TVA sociale, je l’ai défendue ces 10 dernières années.
Elle avait pour but le transfert des charges sociales sur le budget de l’Etat.
Ce processus permettait de faire payer le social par tous alors qu’aujourd’hui, le social est payé uniquement par ceux qui travaillent.
Il permettait de rendre au travail une compétitivité pour l’accroissement de nos exportations.
Aujourd’hui, je pense que la TVA sociale a toujours toute ses valeurs mais elle ne réduit pas le coût du social, maladie et retraite, elle ne fait que le transférer.
Ma découverte et mon invention vont bien au-delà de la TVA sociale.
Elles permettent de réduire le coût des charges de 50%, et tout autant pour la retraite.
Un miracle, me direz-vous !
Non, simplement le maintien de nos constantes de vie aux valeurs pour lesquelles notre corps est conçu.
Comme toute machine, notre corps a certaines défaillances qu’il nous faut compenser avec le régulateur de pressions atmosphériques que j’ai inventé et dont le prototype est réalisé.
Cet appareil, au même titre qu’une chaudière de chauffage central, pour le maintien de la température ambiante, s’appuie sur les conséquences des variations des pressions atmosphériques qui nous surchargent de 2 tonnes supplémentaires, soit 10 % de plus que la constante à 1013 millibars au niveau de la mer.
Vous allez me dire que c’est peu mais, quand la température de notre corps varie deux à quatre degrés, il faut y remédier d’urgence.
Dans le cadre des variations de pressions atmosphériques, ce sont nos cellules qui meurent par faute d’oxygène suite à une rupture de circulation du sang dans les artérioles.
Le tronçon qui relie l’artériole à la cellule n’est pas protégé.
Ceci découle des travaux du Professeur Duranteau et pour ce qui est des conséquences désastreuses, de ceux du Professeur Laurent Schwartz.
Quant à moi, il ne me suffisait que de faire la jonction de ces recherches, pour éviter toute rupture d’alimentation des cellules.
C’est tout l’objet d’Hygée de régulateur, sans le moindre contact avec le corps, mais qui régule la constante des pressions atmosphérique la nuit, dans votre chambre à coucher.
Il importe à présent de le réaliser en série. Cet appareil fera économiser, chaque année, 100 milliards de charges dues aux maladies et aux jours d’absence et 100 milliards pour l’étalement des charges sur les retraites.
J’ajouterai 60 à 80 milliards de TVA supplémentaires par l’accroissement de la production.
Monsieur Attal, Monsieur Le Maire, Monsieur Macron, entrez dans l’histoire de la France prospère :
l’investissement est ridicule par rapport à l’économie réalisée.
Essayons au moins de remplacer la peur et le « je ne sais pas » , ou encore « on n’y a pas pensé », par l’évidence.
Le problème des déficits par l’impôt
On ne résoudra pas le problème des déficits ni de la dette, par l’impôt :
ce serait une escroquerie monstre que l’Etat fasse rembourser ainsi une dette qu’il a créée de toute pièce et qu’il ne peut combler.
Pire encore, ces déficits continueront à progresser.
Certes, le contexte actuel ne facilite pas la résolution de ce problème.
Notre pays a une chance exceptionnelle : c’est de pouvoir réduire de 50% les charges sociales dans le domaine de la santé et de la retraite.
Il nous faut oser combattre une nature ou la réguler, en pleine dérive de ses constantes.
Ce sont ces dérives qui représentent le coût du social et des retraites.
Nous savons, aujourd’hui, ce qu’il faut faire pour mettre fin aux causes qui engendrent ces déficits ; maladies et vieillesse en sont les principaux acteurs.
Il n’est pas besoin d’être un génie pour faire un constat qui confirme l’évidence.
C’est plus de 200 milliards que nous gaspillons inutilement pour une vie et une vieillesse qui ne demandent qu’à être en pleine forme et plus longues.
Par un investissement ridicule, on peut mettre fin aux souffrances et au temps perdu ainsi qu’à une vieillesse qui, aujourd’hui, est un naufrage. C’est un gâchis.
En respectant les constantes qu’impose notre corps, vu l’intérêt que cela représente, ce sont 200 milliards d’économiser pour résoudre les problèmes de déficits et de dette.