Le père est mort, il y a de cela cinquante ans

Le père est mort, ses enfants : Michel Barnier, Valérie Pécresse, Xavier Bertrand, Éric Ciotti, Laurent Wauquiez, Philippe Juvin et Bruno Retailleau ainsi que tous ses enfants politiques, se doivent de faire équipe pour redonner à la France son rang dans le monde.

Michel Barnier nous a parlé d’une équipe ; il sera tout à fait normal qu’il en soit le chef. C’est toute une famille ainsi réunie qui se doit de prendre les leviers de commande, et ils ne seront pas de trop dans la situation actuelle de la France avec une dette de 3 000 milliards qui nous rend dépendants de nos préteurs. C’est une dépendance comme une autre, et ceux qui parlent de liberté feraient bien de s’en inquiéter.

À cela vient s’ajouter un système sanitaire qu’on ne veut pas maîtriser et une école à la dérive. Enfin, c’est toute une industrie qu’il va falloir faire revivre. Sans oublier une agriculture qui a toujours nourri les Français, même en tant de guerre.

Avec une Europe où chacun semble jouer pour lui-même et où la distorsion entre les états est telle qu’on se pose la question : l’Europe est-elle existante ?

C’est aussi une situation climatique où se réunissent les Cop 26 et suivantes sans aucun résultat dominant.

On a du mal à croire que le réchauffement climatique ait pour seule cause les déserts.

C’est  tout cela que la nouvelle équipe doit prendre en charge. Il y a tellement de chose à faire qu’ils ne seront jamais assez nombreux mais il y a la volonté de le faire, ce qui est déjà beaucoup. Redonner à la France son rang dans le monde est toujours plus difficile que de l’avoir laissé se perdre.

Aujourd’hui, plus que jamais, je constate que l’on va tous honorer le Général de Gaulle y compris ceux qui étaient ses opposants. Les Français n’ont pas oublié le Général de Gaulle ; ils étaient peut-être bien jeunes à l’époque mais le souvenir en a été conservé.

Le père est mort, ses enfants doivent reprendre les commandes de l’entreprise France. Et les Français sont attachés à travailler en équipe ; voir leurs dirigeants constituer une équipe n’est pas chose qui pourrait leur déplaire.

Oui, je reste persuadé que le 5 décembre 2021 sera un coup de tonnerre dans le monde politique et je l’espère vraiment car l’époque des demi-mesures doit s’arrêter.

La France a besoin qu’on ne discute plus du nucléaire mais qu’on l’applique. La France a besoin d’une nouvelle donne dans le domaine de la santé. Elle doit prendre en considération tous les effets néfastes de la nature. Il va falloir beaucoup de courage à cette équipe pour en finir avec les monopoles quels qu’ils soient.

Bonne chance à tous.

Interdire la chasse !

Interdire la chasse, ce sera dans très peu de temps interdire la circulation des voitures sur les routes, sur les autoroutes, pendant la nuit !

Interdire la chasse, c’est accepter que les sangliers, les cerfs, les chevreuils, les lièvres, encombrent nos routes ou, tout du moins, les traversent, comme cela est déjà le cas dans nombre de régions.

Faudra-t-il attendre que les sangliers et tous ces animaux, envahissent la place de la Concorde ! Je n’oublierai pas les renards qui s’attaqueront à tous les poulaillers.

Ce n’est pas sérieux. La chasse, en France, est une nécessité absolue pour réguler la faune. Et il faudrait peut-être ne pas oublier que les animaux sont des vecteurs de maladies : à un moment où le virus fait rage, est-ce utile d’en rajouter ?

Je me pose la question : comment feront les cultivateurs quand ils seront envahis par les sangliers qui laboureront leurs champs déjà ensemencés ?

Et tant qu’à éviter la chasse, on pourrait aussi éviter les avions de chasse qui s’en prennent directement à l’homme !

Je m’aperçois, en revanche, qu’on se garde bien de faire la chasse au virus et aux causes qui conduisent aux cancers. Là, nous ne voyons pas beaucoup les écologistes prendre la parole. C’est très bien de protéger les animaux mais faudra-t-il encore se poser la question ; le virus est-il un animal ? En tout cas il fait autant de dégât qu’un sanglier et ils sont des centaines de milliards dans le monde. Et à ce jour, on se contente de soigner les blessés.

Alors qu’on ne vienne pas nous faire des discours qui n’ont ni queue ni tête pour protéger ceux qui sont destructeurs. Il va falloir choisir entre l’animal et l’homme.

Je constate aussi que si la chasse est une tradition en France, la chasse aux virus n’a pas encore pris sa place, probablement parce qu’il est invisible mais que l’on peut aussi combattre quand on le veut.

Les écologistes, on fait de leur parti un fonds de commerce ; ils ont oublié l’essentiel, comme le monopole de la santé. Il  ne faudra jamais oublier que la nature est le principal ennemi de l’homme. Laisser nous envahir, c’est nous détruire.

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